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La jeune Phoenix, vingt-trois ans, a le goût de la provocation, des rêves bien enfouis, et une faille terrible : il y a trois ans, son père, un scientifique, s’est tué dans un accident de voiture en allant rejoindre une autre femme que sa mère. Depuis, Phoenix le déteste. À cause de lui, elle a abandonné études et passions et enchaîne les petits boulots. Mais un jour, dans un carton qui dort à la cave, elle découvre la preuve que son père se sentait en danger. Ainsi qu’un appel à l’aide énigmatique, écrit dans une langue étrangère. Et si elle s’était trompée ? Et si… la mort de son père n’avait pas été un accident ?
Aidée de son jeune frère, un surdoué à l’humour bien ancré, Phoenix se lance à la recherche de la vérité. Mais que pourront-ils, tout seuls, face à un mensonge qui empoisonne le monde ?
À la suite d'un accident, Jo apprend qu'elle risque la rupture d'anévrisme, et que l'opération qui pourrait la sauver n'est pas sans risques. Persuadée qu'elle va mourir, elle se réfugie chez son grand-père. Elle découvre alors qu'il a reçu quinze ans plus tôt un pendentif, accompagné de quelques mots griffonnés : « De la part de Charlotte, qui n'a jamais oublié Gabriel. Ce souvenir vous revient de droit. » Déterminée à percer ce secret de famille, Jo se rend en Angleterre, sur les traces du mystérieux bijou.
1929.
Charlotte et son mari se rendent à New York en voyage d'affaires. Là-bas, la jeune femme s'éprend du charmant Ryan Lorsqu'il apprend qu'elle l'a trahi, son époux, pris d'un violent accès de rage, la laisse pour morte. À son réveil, Charlotte comprend, effondrée, qu'il est parti avec ses papiers : il lui est désormais impossible de rentrer en France et de rejoindre son fils Gabriel.
Un roman qui traverse les océans, les générations, et s'interroge sur la maternité dans la vie d'une femme.
"En février 2017, au cours d'un prime de Touche pas à mon poste !, un internaute m'a posé une question très personnelle, intime, à laquelle j'ai décidé de répondre. Dire la vérité était une évidence, et j'en étais là de l'existence : arrêter de me cacher, de m'anesthésier, de fuir. Assumer mon désir plus fort que tout d'avoir un enfant et me dresser pour vivre avec mes bleus, mes bosses, mes peurs. Mon cri venait du ventre. En parlant de mon endométriose, la maladie avec laquelle je cohabite depuis dix ans, j'ai rompu la loi du silence."À l'aube de la quarantaine, Enora Malagré jette un regard franc sur son parcours et lance un cri d'espoir pour toutes les femmes, les mères et celles qui ne le sont pas.
" Ciao, Sofia, qu'est-ce que je te sers ? Comme d'habitude ? Et j'ajoute un cornetto, parce qu'il faut manger, ma fille !
– Oui, merci, Maria. "
Je m'installe en terrasse, face à la mer, comme chaque matin depuis que je suis de retour en Italie. J'aime bien travailler au son des tasses qui s'entrechoquent. Et, au Mamma Maria, j'ai toujours de la compagnie. Il y a ceux qui viennent tuer le temps. Il y a les enfants qui rêvent devant le comptoir à glaces. Il y a les ados qui sirotent un soda, monsieur le curé, et, surtout, mes partenaires de scopa.
Ici, on vient échanger quelques mots, partager un apéro, esquiver la solitude ou écouter Celentano. Moi, je viens pour me persuader que j'ai bien fait de quitter Paris... et l'autre abruti.
Il fait quand même meilleur ici.
Et puis, on cherche aussi à profiter de la bonne humeur (ou non) de Maria, qui mène, comme une mamma, tout ce petit monde à la baguette.
Bref, j'ai enfin retrouvé mon village paisible.
Enfin, paisible jusqu'au jour où...
Il y a quatre ans, l'écrivain Pierre-Marie Sotto est tombé amoureux de son admiratrice Adeline Parmelan. Puis il y a eu le " grand malheur ". Et un très long silence. Soudain, une envie irrépressible le prend de lui écrire à nouveau. Prétexte ou pas, il a absolument besoin de son petit carnet noir, sans doute oublié chez elle. Il y aurait dedans la phrase qui lui permettra d'écrire son prochain roman. Seulement voilà, le moment est mal choisi. Adeline va déménager au Canada. Avec le nouvel homme de sa vie. Et elle n'a aucune envie de lui répondre, et encore moins à propos de ce fichu calepin...
La saison mondaine commence à peine que les mères ambitieuses et leurs filles sont déjà sur le pied de guerre. Qui attrapera dans ses filets l’un des rejetons de la famille Bridgerton, grande pourvoyeuse de beaux partis ? Une course d’obstacles s’annonce, d’autant que les ragots vont bon train.
Ainsi, le fringant Benedict a beau clamer qu’il ne souhaite pas se marier, le bruit court qu’il a croisé le regard d’une éblouissante inconnue lors d’un bal masqué. Et alors, me direz-vous ? Et alors, la belle a disparu à minuit ! Ce qui ne la rend que plus désirable aux yeux du jeune Bridgerton…
Et qu’en est-il du charmant Colin, enfin de retour de ses pérégrinations sur le Continent ? Il a beau caracoler en tête de liste des célibataires les plus prisés, s’il est en quête d’une fiancée, il le cache bien. Au grand dam d’une certaine débutante, qui pourrait bien voir là un défi à relever.
Mais n’ayez crainte, chers lecteurs, votre dévouée chroniqueuse a plus d’un tour dans son sac lorsqu’il s’agit de donner un coup de pouce au destin.
Rubrique mondaine de lady Whistledown
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