1 févr. 2019

Les sorties du mois de février (en poche !)


À vos agendas ! 
Voici ma sélection du mois en format poche.

"Le seul moyen de se délivrer de la tentation, c'est d'y céder" (Oscar Wilde)
BONNES LECTURES !!
Couverture du livre : CÅ“ur-Naufrage
À bientôt trente-quatre ans, Lyla est tenaillée par le sentiment de passer à côté de l'existence. Elle enchaîne les fiascos amoureux, accumule les névroses et attend, sans trop savoir quoi. Jusqu'au jour où un étrange message la ramène dix-sept ans en arrière. Cet été-là, sur la côte landaise, tout allait basculer....
En 1998, Lyla avait seize ans, une mère abusive et des envies d'ailleurs. En vacances d'été, elle rencontre Joris, un surfeur dont elle tombe amoureuse. Quand elle comprend qu'elle est enceinte, il est trop tard.
Dans ce roman à deux voix qui alterne entre les deux époques, Delphine Bertholon sonde le poids des non-dits dans nos trajectoires et révèle la beauté singulière des accidents de la vie.

Je me nomme Gabriel Wells. Je suis écrivain de romans à suspens. Ma nouvelle enquête est un peu particulière car elle concerne le meurtre de quelqu'un que je connais personnellement : Moi-même. J'ai été tué dans la nuit et je me demande bien par qui. Pour résoudre cette énigme j'ai eu la chance de rencontrer Lucy Filipini. En tant que médium professionnelle, elle parle tous les jours aux âmes des défunts. Et c'est ensemble, elle dans le monde matériel, moi dans le monde invisible, que nous allons tenter de percer le mystère de ma mort.

Couverture du livre : Les Animaux
Niché au fin fond de l’Idaho, au cœur d’une nature sauvage, le refuge de Bill Reedrecueille les animaux blessés. Ce dernier y vit parmi les rapaces, les loups, les pumas et même un ours. Connu en ville comme le « sauveur » des bêtes, Bill est un homme à l’existence paisible, qui va bientôt épouser une vétérinaire de la région.
Mais le retour inattendu d’un ami d’enfance fraîchement sorti de prison pourrait ternir sa réputation. Rick est le seul à connaître le sombre passé de Bill, que ce dernier s’est acharné à cacher pendant toutes ces années. Pour préserver son secret et la vie qu’il a bâtie sur un mensonge, Bill est prêt à tout. Au fur et à mesure que la confrontation entre les deux hommes approche, inéluctable, l’épaisse forêt qui entoure le refuge, jadis rassurante, se fait de plus en plus menaçante…
Dans le décor des grands espaces, un roman noir qui est aussi une superbe histoire de rédemption qui marque la naissance d’une nouvelle voix de la littérature américaine.

Couverture du livre : L'amour après
« Le téléphone sonne. C’est Charlotte qui m’appelle d’Israël. Nous étions dans la même classe à Montélimar. Elle a été arrêtée après moi, mais je ne l’ai pas croisée à Birkenau.
— Qu’est-ce que tu fais en ce moment ? demande-t-elle.
— Je travaille sur l’amour.
Un silence alors, comme si le mot amour s’égarait, se cognait dans sa tête. Elle ne sait qu’en faire.
— L’amour au camp ou quoi ?
— Après les camps.
— Ah, c’est mieux. L’amour au camp, j’en ai pas vu beaucoup. »
Comment aimer, s’abandonner, désirer, jouir, quand on a été déportée à quinze ans ?
Retrouvant à quatre-vingt-neuf ans sa « valise d’amour », trésor vivant des lettres échangées avec les hommes de sa vie, Marceline Loridan-Ivens se souvient…
Un récit merveilleusement libre sur l’amour et la sensualité.

Décembre 2001. Lucien, onze ans, vient d’arriver à Buenos Aires avec sa mère. Dans une librairie, il est captivé par de mystérieuses petites boîtes jaunes. Dedans, de minuscules poupées. Selon une légende, si on leur confie ses soucis avant de s’endormir, le lendemain, ils se sont envolés.
Le temps qu’il choisisse son attrape-souci, c’est sa mère qui s’est envolée. Disparue.
Lucien part à sa recherche. Se perd.
Au fil de ses errances, il fait des rencontres singulières. Cartonniers, prostituées, gamins des rues avec qui il se lie, un temps. Et grâce à qui, envers et contre tout, il se construit, apprend à grandir. Autrement.
Rebaptisé Lucio par ses compagnons de route, cet enfant rêveur et déterminé incarne ce possible porte-bonheur que chacun a en soi.

« Après Mr Mercedes et Carnets noirs, les fans de Stephen King trouveront dans ce mélange de suspense et d’horreur la conclusion parfaite à la trilogie de l’inspecteur Hodges. »
Publishers Weekly
Sept ans après le massacre perpétré par Brady Hartsfield (Mr Mercedes), ce dernier gît sur son lit d’hôpital, paralysé, le cerveau endommagé, subissant les essais cliniques expérimentaux du Dr Babineau.
Mais derrière son rictus douloureux et son regard fixe, Brady est bien vivant. Et capable de commettre un nouveau carnage sans même quitter son lit. Sa première pensée est pour Bill
Hodges, son plus vieil ennemi…

Couverture du livre : Le Goût sucré des souvenirs
Dans la lignée de Un goût de canelle et d'espoir, un premier roman doux-amer qui entremêle les destins d'une vieille dame et d'une jeune fille. Délicieusement subtil et poétique.
Elisabetta Shapiro, 80 ans, vit seule dans sa maison familiale au cœur de Vienne. De son enfance, elle a conservé des dizaines de pots de confiture d'abricot. Tous sont soigneusement étiquetés et indiquent l'année de leur fabrication. Véritable madeleine de Proust, la confiture fait immanquablement jaillir les souvenirs : les jours tranquilles rythmés par les chants de sa mère, Franz, le voisin dont elle était follement amoureuse, ses grandes sœurs qu'elle jalousait secrètement. Et puis la montée du nazisme dans les années 1930, l'arrestation de toute sa famille par les SS, la solitude et la perte des repères.
Quand Pola, une jeune danseuse, emménage chez la vieille dame, ses habitudes sont chamboulées. D'autant plus que Pola lutte elle aussi contre ses propres démons.
Malgré leurs différences, les deux femmes vont peu à peu se rapprocher et nouer des liens plus forts qu'elles ne l'auraient imaginé.

Comment réagit-on lorsqu'on apprend par la télévision que sa propre fille est accusée de tentative de meurtre en relation avec une entreprise terroriste ? Magda, belle femme de soixante ans habituée à vivre à l'abri des regards, voit soudain son intimité fouillée, disséquée par des enquêteurs suspicieux et des journalistes avides de sensationnalisme. Tandis que la justice fait traîner une procédure de plus en plus politique, elle s'interroge : sa fille a-t-elle réellement eu l'intention d'attenter à des vies humaines ? Et si oui, quel rôle a-t-elle joué, en tant que mère, dans cette dérive ?

Très librement inspiré de faits réels, Magda explore, par le biais de la fiction, les ressorts de la transmission familiale entre une mère rongée par le secret et sa fille, activiste passée du côté de la clandestinité. Un roman introspectif et crépusculaire, doublé d'un captivant portrait de femme.

Imaginez une maison comme n’importe quelle autre. Dedans, une pièce. Dans cette pièce, une armoire. Derrière cette armoire, une porte. Au-delà de cette porte, des escaliers. Et en bas, une cave. Une cave où sont séquestrées quatre filles.

Avant, Lilas s'appelait Summer. Elle avait des parents, un frère insupportable, des copines, un petit ami. Elle fera tout pour les retrouver. Car contrairement aux autre filles, elle n'est pas prête à accepter son sort jusqu'à faner et dépérir.

Élevée dans le culte d'un père mort par accident, Chiara, 25 ans, apprend fortuitement que son père biologique vit à Groix en Bretagne. Ébranlée par cette révélation, Chiara part à sa recherche sur l'île aux grenats.

Elle remplace la factrice pour s'intégrer à la communauté Groisillonne et mener son enquête en toute discrétion. Mais tout se complique lorsque la jeune femme apprend que deux frères Tonnerre ont croisé sa mère vingt-cinq ans plus tôt. Sur place, Chiara se lie d'amitié avec Urielle, une jeune groisillonne qui ne supporte plus le stress de Paris, et Perig, un vieux correspondant de presse dont le fils a disparu en mer. Alors que l'île l'envoûte et l'invite à rester, elle rencontre Gabin, un écrivain corse qui prête sa plume à des romanciers célèbres. Cette histoire d'amour inattendue s'épanouira-t-elle ?

Un roman breton où la tendresse ne reste pas poste restante, où les liens du sang n'accusent pas réception, où le bateau du courrier apporte bien des surprises, et les boites aux lettres recèlent de lourds secrets.

En 1956, Adèle Gensac occupe son premier poste d'institutrice à Saint-Jean-du-Gard, au cœur des Cévennes. Parmi ses élèves, l'une se distingue : Élise, dix ans, aux yeux pleins de douceur, brillante mais muette. Et née de père inconnu. Une double singularité que sa mère, Lucie Rochefort, malgré les ragots et les médisances, assume au regard de tous. Au fil du temps, une connivence s'établit entre Adèle et Lucie.

Un jour, l'institutrice se voit confier le journal intime de la fillette qui y a consigné ses plus lointains souvenirs. Terribles. Violents. Douloureux.

Quel mystère entoure sa naissance ? Quelle est la véritable histoire de sa mère ? Adèle tiendra-t-elle la promesse faite à Élise pour que s'apaisent enfin les tourments du passé ?

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