Auteur: Becky Albertalli
Genre: Jeunesse
Nombre de pages: 352
Date de sortie: 12/04/2017
Prix du livre papier: 6€90
Prix du livre numérique: 11€99
ISBN: 9782017010166
Editions: Le livre de Poche Jeunesse
Synopsis:
Simon Spier, 16 ans, est gay. Personne n’est au courant. Les seuls moments où il est vraiment lui-même, c’est à l’abri derrière l’écran de son ordinateur. C’est sur un chat qu’il « rencontre » Blue. Il ne sait pas grand-chose de lui sinon qu'ils fréquentent le même lycée. Simon commence à être raide dingue de Blue mais cela reste secret. Jusqu'au jour où il commet l'erreur monumentale de laisser ouverte sa session sur l’ordi du lycée. Martin, un de ses camarades de classe, lit ses emails et menace de tout révéler.
Mon avis:
Moi, Simon, 16 ans, Homo Sapiens est un roman jeunesse à mettre entre toutes les mains !
Il nous parle d'un jeune garçon de 16 ans, tourmenté par son orientation sexuelle, il n'ose affronter ni le regard de ses camarades ni celui de ses parents qui ne sont pourtant pas dupes à la situation que traverse leur fils.
C'est derrière son écran d'ordinateur que Simon va le plus se dévoiler puisqu'il va avoir de beaux échanges avec un autre garçon de son lycée : Blue. Les deux jeunes hommes se cachent derrière des pseudos et le mystère reste entier sur leurs identités, cela va leur permettre d'être très sincères et authentiques. Au fur et à mesure de leurs échanges épistolaires, les deux garçons vont voir leurs sentiments évoluer et leurs messages deviennent alors plus intimes, c'est à mes yeux le point fort de ce livre.
Faut-il se cacher lorsqu'on a 16 ans et qu'on est homosexuel ? Une question existentielle et pourtant, la réponse est si simple...
J'ai lu Moi, Simon, 16 ans, Homo Sapiens, car le sujet de ce livre me plaisait beaucoup. J'ai trouvé intéressant d'avoir ce genre de roman dans le rayon jeunesse, peut-être que cela peut ouvrir certaines portes, qui sait ? La façon dont Becky Albertalli à écrit son livre est plaisante, car elle n'en a pas fait des tonnes, elle est restée du début à la fin dans la sobriété et l'histoire est simple et profonde. Les messages qu'échangent Simon et Blue sont beaux, j'ai aimé lire leurs messages parfois mystérieux, parfois maladroits. J'ai cherché qui pouvait bien être Blue et évidemment, je n'ai pas trouvé qui était Blue ! 😆
J'ai passé un bon moment avec ce livre, même s'il ne correspond pas à mes lectures habituelles puisque je ne fais pas partie des personnes ciblées (je suis une lectrice, certes, mais plus si jeune que ça... 😉)
►Pour conclure, je pense que ce livre devrait être lu par tous les adolescents. Il aurait sa place dans le Prix des incorruptibles par exemple, en tout cas, il est impératif qu'il soit disponible au CDI des collèges et lycées, je pense que certains ados peuvent se retrouver dans l’histoire de Simon et Blue.
Un roman simple et efficace !
Moi, Simon, 16 ans, Homo Sapiens est un roman jeunesse à mettre entre toutes les mains !
Il nous parle d'un jeune garçon de 16 ans, tourmenté par son orientation sexuelle, il n'ose affronter ni le regard de ses camarades ni celui de ses parents qui ne sont pourtant pas dupes à la situation que traverse leur fils.
C'est derrière son écran d'ordinateur que Simon va le plus se dévoiler puisqu'il va avoir de beaux échanges avec un autre garçon de son lycée : Blue. Les deux jeunes hommes se cachent derrière des pseudos et le mystère reste entier sur leurs identités, cela va leur permettre d'être très sincères et authentiques. Au fur et à mesure de leurs échanges épistolaires, les deux garçons vont voir leurs sentiments évoluer et leurs messages deviennent alors plus intimes, c'est à mes yeux le point fort de ce livre.
Faut-il se cacher lorsqu'on a 16 ans et qu'on est homosexuel ? Une question existentielle et pourtant, la réponse est si simple...
J'ai lu Moi, Simon, 16 ans, Homo Sapiens, car le sujet de ce livre me plaisait beaucoup. J'ai trouvé intéressant d'avoir ce genre de roman dans le rayon jeunesse, peut-être que cela peut ouvrir certaines portes, qui sait ? La façon dont Becky Albertalli à écrit son livre est plaisante, car elle n'en a pas fait des tonnes, elle est restée du début à la fin dans la sobriété et l'histoire est simple et profonde. Les messages qu'échangent Simon et Blue sont beaux, j'ai aimé lire leurs messages parfois mystérieux, parfois maladroits. J'ai cherché qui pouvait bien être Blue et évidemment, je n'ai pas trouvé qui était Blue ! 😆
J'ai passé un bon moment avec ce livre, même s'il ne correspond pas à mes lectures habituelles puisque je ne fais pas partie des personnes ciblées (je suis une lectrice, certes, mais plus si jeune que ça... 😉)
►Pour conclure, je pense que ce livre devrait être lu par tous les adolescents. Il aurait sa place dans le Prix des incorruptibles par exemple, en tout cas, il est impératif qu'il soit disponible au CDI des collèges et lycées, je pense que certains ados peuvent se retrouver dans l’histoire de Simon et Blue.
Un roman simple et efficace !
Ma note:
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Informations:
Traduit de 'anglais (États-Unis) par Mathilde Tamae-Bouhon
Les premières lignes:
Book Trailer:
Quelques mots sur Becky Albertalli:
Becky Albertali est née dans la banlieue d’Atlanta. L’écriture et la lecture ont toujours été importantes pour elle. Elle suit des études de psychologie dans une université du Connecticut et passe un an en Écosse, à l’université de Saint Andrews. Elle déménage ensuite à Washington pour y passer son doctorat. Après avoir été psychologue, elle se consacre désormais à l’écriture.
Becky Albertali est née dans la banlieue d’Atlanta. L’écriture et la lecture ont toujours été importantes pour elle. Elle suit des études de psychologie dans une université du Connecticut et passe un an en Écosse, à l’université de Saint Andrews. Elle déménage ensuite à Washington pour y passer son doctorat. Après avoir été psychologue, elle se consacre désormais à l’écriture.
Bibliographie:
♦Moi, Simon, 16 ans, Homo Sapiens
♦Moi, Simon, 16 ans, Homo Sapiens
Quelques liens indispensables:
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