Auteur: Didier van Cauwelaert
Genre: Contemporain
Nombre de pages: 176
Date de sortie: 03/05/2017
Prix du livre papier: 16€50
Prix du livre numérique: 11€99
ISBN: 9782226398932
Editions: Albin Michel
Synopsis:
Guide d’aveugle au chômage depuis qu’Alice a recouvré la vue, Jules s’est reconverti en chien d’assistance pour épileptiques. Il a retrouvé sa fierté, sa raison de vivre. Il est même tombé amoureux de Victoire, une collègue de travail. Et voilà que, pour une raison aberrante, les pouvoirs publics le condamnent à mort. Alice et moi n’avons pas réussi à protéger notre couple ; il nous reste vingt-quatre heures pour sauver notre chien.
Au cœur des tourments amoureux affectant les humains comme les animaux, Didier van Cauwelaert nous entraîne dans un suspense endiablé, où se mêlent l’émotion et l’humour qui ont fait l’immense succès de Jules.
Mon avis:
Lorsque j'ai vu "Le retour de Jules" dans le catalogue des Éditions Albin Michel, j'ai ressenti une grande joie, je me suis dit : "Youpi, moi qui ai tant aimé le premier opus, je vais me régaler avec cette suite !".
(Jules, le premier tome (lire ma chronique ICI) a été publié en 2015 dans la même maison d'édition et est disponible depuis en format poche, si vous ne l'avez pas encore lu, je vous le conseille chaleureusement.)
Pour ma part, j'avais hâte de retrouver les personnages, j'étais pressée de reprendre l'histoire là où je l'avais laissée et surtout, j'avais très envie de voir comment ils avaient tous évolué et ce qu'ils allaient vivre dans cette suite.
J'ai donc retrouvé Jules, ce chien de race labrador qui a été dressé afin d’accompagner les personnes malvoyantes et qui a également la capacité de détecter les crises d’épilepsie chez les humains. Il est maintenant dans sa nouvelle famille loin d'Alice et de Zibal, ce couple qui m'a tant touchée dans le premier tome. Si on s'attend à retrouver nos amoureux plus unis que jamais, il n'en est rien, Alice et Zibal sont séparés et vivent loin l'un de l'autre suite à une sombre histoire d'adultère. Mais une fois de plus, ils vont, par la force des choses, être réunis grâce à leur chien puisque Jules après avoir mordu un enfant se retrouve sur la liste urgente des chiens à euthanasier. Alice et Zibal n'ont que 24 heures pour sauver leur animal si cher à leurs yeux (sans mauvais jeu de mots ;).
Le livre n'est pas très long, un petit peu plus de 170 pages et pourtant, j'ai mis plus de temps que je ne le pensais à le lire. Pas par manque de temps, mais par manque d'envie. J'ai très rapidement été déçue par le contenu de cette suite que j'ai trouvée sans grand intérêt. Déjà, je n'ai pas réussi à m'attacher à Jules de la même manière que je l'avais été lors de la lecture du premier tome. J'ai trouvé qu'il y avait beaucoup moins d'émotion, moins de jolis moments, même lorsque Zibal et Alice se réunissent, il manque quelque chose pour qu'on soit attendris et touchés.
Je ne peux pas dire que "Le retour de Jules" n'est pas appréciable mais il est moins prenant, moins surprenant et largement en dessous de ce à quoi je m'attendais. Je pense que c'est une suite qui n'était pas nécessaire car le premier tome se suffit à lui-même, j'ai peur que la majorité des lecteurs soient déçus par ce que propose Didier van Cauwelaert, parce qu'au final, il ne se passe pas grand chose dans ce roman.
►Pour conclure, une suite qui n'apporte rien, le livre se lit bien la plume de l'auteur est toujours aussi plaisante mais le fond de l'histoire est loin d’être à la hauteur du premier tome.
Dommage !
Je remercie les Éditions Albin Michel pour cette lecture.
Lorsque j'ai vu "Le retour de Jules" dans le catalogue des Éditions Albin Michel, j'ai ressenti une grande joie, je me suis dit : "Youpi, moi qui ai tant aimé le premier opus, je vais me régaler avec cette suite !".
(Jules, le premier tome (lire ma chronique ICI) a été publié en 2015 dans la même maison d'édition et est disponible depuis en format poche, si vous ne l'avez pas encore lu, je vous le conseille chaleureusement.)
Pour ma part, j'avais hâte de retrouver les personnages, j'étais pressée de reprendre l'histoire là où je l'avais laissée et surtout, j'avais très envie de voir comment ils avaient tous évolué et ce qu'ils allaient vivre dans cette suite.
J'ai donc retrouvé Jules, ce chien de race labrador qui a été dressé afin d’accompagner les personnes malvoyantes et qui a également la capacité de détecter les crises d’épilepsie chez les humains. Il est maintenant dans sa nouvelle famille loin d'Alice et de Zibal, ce couple qui m'a tant touchée dans le premier tome. Si on s'attend à retrouver nos amoureux plus unis que jamais, il n'en est rien, Alice et Zibal sont séparés et vivent loin l'un de l'autre suite à une sombre histoire d'adultère. Mais une fois de plus, ils vont, par la force des choses, être réunis grâce à leur chien puisque Jules après avoir mordu un enfant se retrouve sur la liste urgente des chiens à euthanasier. Alice et Zibal n'ont que 24 heures pour sauver leur animal si cher à leurs yeux (sans mauvais jeu de mots ;).
Le livre n'est pas très long, un petit peu plus de 170 pages et pourtant, j'ai mis plus de temps que je ne le pensais à le lire. Pas par manque de temps, mais par manque d'envie. J'ai très rapidement été déçue par le contenu de cette suite que j'ai trouvée sans grand intérêt. Déjà, je n'ai pas réussi à m'attacher à Jules de la même manière que je l'avais été lors de la lecture du premier tome. J'ai trouvé qu'il y avait beaucoup moins d'émotion, moins de jolis moments, même lorsque Zibal et Alice se réunissent, il manque quelque chose pour qu'on soit attendris et touchés.
Je ne peux pas dire que "Le retour de Jules" n'est pas appréciable mais il est moins prenant, moins surprenant et largement en dessous de ce à quoi je m'attendais. Je pense que c'est une suite qui n'était pas nécessaire car le premier tome se suffit à lui-même, j'ai peur que la majorité des lecteurs soient déçus par ce que propose Didier van Cauwelaert, parce qu'au final, il ne se passe pas grand chose dans ce roman.
►Pour conclure, une suite qui n'apporte rien, le livre se lit bien la plume de l'auteur est toujours aussi plaisante mais le fond de l'histoire est loin d’être à la hauteur du premier tome.
Dommage !
Je remercie les Éditions Albin Michel pour cette lecture.
Ma note:
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Les premières lignes:
Quelques mots sur Didier van Cauwelaert:
Bibliographie:
Quelques liens indispensables:
♦Site des Editions Albin Michel
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♦Albin Michel sur Twitter
♦Albin Michel sur YouTube
♦Toutes mes chroniques pour les Éditions Albin Michel sont disponibles ICI
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Dommage, j'avais bien aimé le 1er aussi ! Je verrais si je le trouve à la médiathèque du coup ... Biz
RépondreSupprimerJe pense qu'effectivement c'est une bonne idée de l'emprunter à la bibliothèque ;)
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