Auteur: Victoria Hislop
Genre: Nouvelles
Nombre de pages: 144
Date de sortie: 01/10/2016
Prix du livre papier: 16€90
Prix du livre numérique: 11€99
ISBN: 9782365691208
Editions: Les Escales
Synopsis:
Au fil de dix nouvelles au charme indéniable, Victoria Hislop nous emmène à travers les rues d'Athènes et les parcs ombragés des villages grecs. En évoquant leur atmosphère si particulière, elle donne vie à un grand nombre de personnages inoubliables : un prêtre solitaire, deux frères qui n'arrêtent pas de se quereller, un étranger indésirable ou encore un jeune marié à la mémoire défaillante.
Ces nouvelles douces-amères ont pour thème l'amour, la loyauté, la séparation et la réconciliation et sont écrites avec le style si reconnaissable et propre à Victoria Hislop.
Mon avis:
Je remercie chaleureusement les Éditions Les Escales pour cette très jolie lecture !
Ma note:
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Informations:
Traduit par Alice DELARBRE
Titre original : The last dance (2012)
*Toutes mes chroniques sur les livres de Victoria Hislop*
Titre original : The last dance (2012)
*Toutes mes chroniques sur les livres de Victoria Hislop*
Les nouvelles:
○Le pope et le perroquet
○Le kafenion
○Embrasement à Athènes
○Le cœur d'Angéliki
○Le périptero
○Une soirée crétoise
○Le boucher de Karapoli
○La leçon
○Le sapin
○La dernière danse
○Le pope et le perroquet
○Le kafenion
○Embrasement à Athènes
○Le cœur d'Angéliki
○Le périptero
○Une soirée crétoise
○Le boucher de Karapoli
○La leçon
○Le sapin
○La dernière danse
Mes ressentis:
Une nuit en Crète est le dernier roman de l'auteure à succès : Victoria Hislop.
Vous connaissez certainement un ou plusieurs de ses titres, si je vous dis par exemple L’île des oubliés (peut-être celui qui est le plus connu) ou Une dernière danse ou encore La ville orpheline, sans oublier Le fil des souvenirs (le seul que je n'ai pas encore lu). Si jusqu'ici, Victoria Hislop nous a habitués à de gros pavés denses et imposants, elle signe avec Une nuit en Crète son premier recueil de nouvelles publié en France, qui lui, est beaucoup moins important puisqu'il ne fait que 144 pages, mais cela ne retire en rien la qualité de l'ouvrage !
Il y a au total 10 nouvelles, qui se lisent toutes plus vite les unes que les autres. J'ai eu la grande et très agréable surprise de trouver parmi ces petites histoires : Le cœur d'Angeliki, un récit que j'ai déjà lu et chroniqué (ICI) en décembre dernier suite à une offre sur le site des Éditions Les Escales. Cette nouvelle est toujours disponible (gratuitement) en téléchargement, voici le lien : Le cœur d'Angeliki. Cela vous donnera déjà un petit aperçu de ce qui vous attend :)
Les neuf autres histoires sont toutes aussi jolies et charmantes. J'ai retrouvé avec plaisir la plume délicate de l'auteure, son talent est indéniable, elle a le don de nous faire voyager à travers les mots avec une facilité déconcertante. C'est doux, beau et cela fait un bien fou. Je tiens à préciser que tous ses romans sont dans le même registre, ils sont magnifiquement écrits, ils sont touchants et procurent tous beaucoup d'émotions. Chaque ouvrage est un voyage pur et unique, les personnages sont toujours intéressants et singuliers, les descriptions sont nombreuses, les lieux prennent vie sans difficulté et l'ensemble sonne juste. C'est pourquoi je suis tombée, une fois de plus, sous le charme de la plume de l'auteure. J'ai lu dix histoires différentes, voyagé à dix endroits exceptionnels, choisis avec soin par Victoria Hislop. J'ai appris à connaître des protagonistes qui avaient tous quelque chose à transmettre : un message, une émotion, un frisson... J'ai pris divers chemins avec Une nuit en Crète et ils m'ont tous procuré un grand plaisir de lecture.
Je vous recommande chaudement ce petit recueil, soit pour faire connaissance avec la plume de Victoria Hislop, pour ensuite enchaîner avec ses autres titres (qui sait ?), soit pour, comme moi, retrouver l'univers d'une auteure exigeante et talentueuse. Plaisir assuré, voyage certifié, lecture validée !
Les premières lignes:
-Le pope et le perroquet-
Stavros avait fait le choix du célibat. Il connaissait nombre de popes mariés, pères de famille, et même certains qui avaient eu des enfants en dehors des liens sacrés du mariage. Il y avait néanmoins une femme dans sa vie, au service de laquelle il s’était placé : Panagia, la Vierge Marie, mère de Dieu. Un an plus tôt, il était arrivé à Ladrisi pour seconder papas Apostolos, l’octogénaire qui avait servi de guide spirituel aux habitants du village pendant plus de cinquante ans. On l’avait beaucoup pleuré à sa mort, mais Stavros s’était révélé plus qu’à la hauteur de ses fonctions. La paroisse qui lui avait été confiée se composait d’un village de quatre cents âmes tout au plus et de trois hameaux voisins, chacun doté d’une minuscule église. La maison du prêtre se trouvait sur une colline, à la sortie du village, à deux minutes de marche de l’église. Cette position privilégiée lui permettait d’apercevoir les autres, plus petites, disséminées dans la vallée, et qui étaient aussi sous sa responsabilité. Le jeune homme, tout juste sorti du séminaire, bénissait Dieu d’avoir hérité d’une communauté aussi paisible.
Quelques mots sur Victoria Hislop:
Bibliographie:
Quelques liens indispensables:
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