Auteur: Diane Peylin
Genre: Contemporain
Nombre de pages: 240
Date de sortie: 02/06/2016
Prix du livre papier: 17€90
Prix du livre numérique: 12€99
ISBN: 9782365691901
Editions: Les Escales
Synopsis:
C'est une petite île de sable et de volcans, aux couleurs méditerranéennes. Là, trois hommes d'une même famille, trois pêcheurs, doivent affronter le passé, les regrets, le silence.
Il y a Valente Orozco, le père, sauvage et taciturne, qui n'a jamais pu surmonter la mort de sa femme Rocio. Il y a Rafa, le grand-père, ce géant au regard d'acier, inflexible avec Valente, et qui, inexplicablement, s'est métamorphosé un beau matin pour ne plus jamais cesser de sourire. Et puis il y a Salvi, le fils, qui a quitté l'île pour le continent, fuyant un destin tout tracé. Salvi qui déteste la mer, les éternels filets, l'odeur des poissons et les valeurs patriarcales d'une société dans laquelle il ne se reconnaît pas.
Derrière ces trois hommes, surtout, il y a des secrets, des non-dits portés de génération en génération comme un fardeau, et bien sûr des femmes – qui sont des soleils ou des poignards.
Voici, tissées délicatement, les trajectoires émouvantes de trois fils en quête d'un père.
Mon avis:
Je remercie les Éditions Les Escales pour cette lecture que j'ai vraiment beaucoup aimée !
Ma note:
Vous l'avez lu ? Notez-le:
Les plus, les moins :
+Une histoire de famille touchante
+Des personnages attachants
+Un roman extrêmement bien écrit
-Il n'y en a pas !
Mes ressentis:
J'ai découvert cette semaine la plume de Diane Peylin à travers son dernier roman « Même les pêcheurs ont le mal de mer ». Je ne savais pas trop à quoi m'attendre avec un tel titre, mais la couverture m'a, à elle seule, complètement conquise. Comment résister à ces couleurs et à cette magnifique photo ? Elle nous invite dès le premier regard à un voyage, un très beau voyage de 240 pages.
L'histoire est particulièrement touchante. Nous faisons tout d'abord la connaissance de Salvi, le personnage que j'ai trouvé le plus attendrissant, il est le fils de Valente et le petit-fils de Rafa, trois personnes attachantes. Ces trois hommes, apportent chacun à leur tour, leur point de vue à travers leur narration. Les Orozco se confient un à un afin de nous transmettre leur histoire commune et surtout leur lourd secret de famille. C'est beau, inattendu, poignant et particulièrement prenant. J'ai tourné les pages avec engouement, savouré chaque mot, chaque phrase, chaque chapitre. J'ai adoré ce récit d'une grande beauté à l'image de sa couverture. « Même les pêcheurs ont le mal de mer » est un livre précieux, une petite pépite parmi les pépites, à lire et à partager autour de soi sans modération.
► En bref, « Même les pêcheurs ont le mal de mer » est absolument splendide ! Je ne connaissais pas encore la plume de l'auteure, Diane Peylin, mais maintenant que c'est fait, je ne vais pas m'arrêter en si bon chemin ! J'ai dans ma PAL « À l'endroit où elles naissent », je pense le sortir très bientôt afin de le lire et j'ai aussi très envie de m'offrir « Quand je serai grande, je serai vieille ». Si vous avez lu ces deux romans, je vous invite à me dire en commentaire ci-dessous lequel vous avez préféré ou lequel vous me conseillez chaleureusement.
Je remercie les Éditions Les Escales pour cette belle lecture, ce presque coup de cœur ainsi que Diane Peylin pour ce magnifique roman.
J'ai découvert cette semaine la plume de Diane Peylin à travers son dernier roman « Même les pêcheurs ont le mal de mer ». Je ne savais pas trop à quoi m'attendre avec un tel titre, mais la couverture m'a, à elle seule, complètement conquise. Comment résister à ces couleurs et à cette magnifique photo ? Elle nous invite dès le premier regard à un voyage, un très beau voyage de 240 pages.
L'histoire est particulièrement touchante. Nous faisons tout d'abord la connaissance de Salvi, le personnage que j'ai trouvé le plus attendrissant, il est le fils de Valente et le petit-fils de Rafa, trois personnes attachantes. Ces trois hommes, apportent chacun à leur tour, leur point de vue à travers leur narration. Les Orozco se confient un à un afin de nous transmettre leur histoire commune et surtout leur lourd secret de famille. C'est beau, inattendu, poignant et particulièrement prenant. J'ai tourné les pages avec engouement, savouré chaque mot, chaque phrase, chaque chapitre. J'ai adoré ce récit d'une grande beauté à l'image de sa couverture. « Même les pêcheurs ont le mal de mer » est un livre précieux, une petite pépite parmi les pépites, à lire et à partager autour de soi sans modération.
► En bref, « Même les pêcheurs ont le mal de mer » est absolument splendide ! Je ne connaissais pas encore la plume de l'auteure, Diane Peylin, mais maintenant que c'est fait, je ne vais pas m'arrêter en si bon chemin ! J'ai dans ma PAL « À l'endroit où elles naissent », je pense le sortir très bientôt afin de le lire et j'ai aussi très envie de m'offrir « Quand je serai grande, je serai vieille ». Si vous avez lu ces deux romans, je vous invite à me dire en commentaire ci-dessous lequel vous avez préféré ou lequel vous me conseillez chaleureusement.
Je remercie les Éditions Les Escales pour cette belle lecture, ce presque coup de cœur ainsi que Diane Peylin pour ce magnifique roman.
Les premières lignes:
Les extraits que j'ai relevés:
En vidéo:
Quelques mots sur Diane Peylin:
Née en 1978, Diane Peylin a été gérante de gîtes dans les gorges de l’Ardèche, institutrice, puis nomade lors d’un tour du monde en voilier. Elle est aujourd’hui animatrice d’ateliers d’écriture et surtout romancière. Elle est notamment l’auteur de À l’endroit où elles naissent (Les Nouveaux Auteurs, Grand prix du Roman de l’été 2011) et Quand je serai grande, je serai vieille (Flammarion, 2015).
Bibliographie:
♦À l'endroit où elles naissent
♦Chambre 442
♦Noa, de l'autre côté...
♦Quand je serai grande, je serai vieille
♦Sang tsigane
Quelques liens indispensables:
J'ai beaucoup aimé cet ouvrage remarquablement écrit. Dans ce roman on réalise à quel point les non-dits n'aident pas à une construction humaine forte, droite, stable.
RépondreSupprimerroman remarquablement écrit. On réalise à quel point les non-dits n'aident pas à une construction humaine droite, solide et pleine d'espérance.
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