Auteur: Siwar al-Assad
Genre: Roman
Nombre de pages: 256
Date de sortie: 12/11/2015
Prix support papier: 20€00
Prix format numérique: /
ISBN: 978-2367600567
Editions: Erickbonnier
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Synopsis:
Au lendemain de la Première Guerre Mondiale, Paris est en fête. Tout est exubérance, joie et nouveauté dans le Montparnasse des années folles. Mais Angèle de Lestrange, fille d'un éminent collectionneur d'art, sort d'une expérience sentimentale douloureuse.
Afin de changer d'air, elle embarque pour New York, où elle logera chez une amie de son père dans l'Upper East Side, sans se douter que l'été 1920 marquera pour elle le début d'une transformation intérieure sans précédent. Elle découvre les Roaring Twenties à l'heure américaine de la prohibition dans la ville qui ne dort jamais et dans les Hamptons de la haute société.
Lors d'une étrange soirée de tous les excès, la jeune femme est témoin d'un casse dans le musée du Metropolitan Museum of Art et se trouve embarquée dans un trafic d'art international qui la dépasse. La cause du délit est-elle politique, commerciale ou purement criminelle ?
Le juriste Charles Rutkins, dont Angèle tombe éperdument amoureuse, mènera l'enquête pour tenter de saisir les tenants et les aboutissants de ce vol des collections d'oeuvres d'Europe centrale. Ces deux jeunes gens traverseront frontières et multiples aventures au péril de leur propre vie afin de démêler les noeuds de cette affaire.
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Informations:
Ce roman contient plusieurs chapitres non numérotés moyennement longs.
Ce roman contient plusieurs chapitres non numérotés moyennement longs.
Mes ressentis:
C'est un avis plus que mitigé que je vais vous faire lire aujourd'hui. Le temps d'une saison est un roman qui aurait pu me séduire, mais qui m'a malheureusement laissée sur la touche.
Je vais commencer par vous parler du visuel, j'aime beaucoup cette couverture qui représente assez bien le style des femmes des années 1920, époque où se passe l'histoire comme vous pouvez le voir dans le résumé. Le titre est joli, reste évasif et donne envie de creuser un petit peu plus pour voir ce que l'auteur va nous proposer dans son roman.
Justement dans ce roman j'ai aimé en découvrir un petit peu plus sur l'époque choisie par Siwar al-Assad, les années folles. C'est la première fois que je lis un livre avec autant de descriptions sur cette période et avec des détails qui nous permettent de nous évader, de nous imaginer à la place d'Angèle, l'héroïne. J'ai bien aimé les personnages et plus particulièrement cette femme que j'ai trouvée expansive et attachante. Elle a réussi à me faire sourire grâce à son extravagance qui fait tout son charme. C'est donc avec beaucoup d’intérêt que j'ai suivi la vie de cette Parisienne en Amérique.
En revanche, je n'ai pas été séduite par l'intrigue que j'ai trouvée trop simple et trop facile.
Je n'ai pas particulièrement été transportée par l'enquête qui est au cœur de l'histoire, celle qui concerne le vol d'objets d'art. J'ai trouvé cette partie trop prévisible, pas assez mouvementée, j'aurais aimé plus de rebondissements et de suspense.
L'auteur, Siwar al-Assad, a écrit son roman avec de la passion et l'envie de nous transmettre tout ce qu'il aime dans les années 20, cependant, si sa plume est agréable à parcourir, elle est aussi, à mon avis, pas assez travaillée. Je souhaite également relever un détail qui m'a vraiment agacé : il y a dans ce texte de nombreuses coquilles, je trouve cela vraiment gênant et terriblement agaçant. Ce n'est pas normal qu'un roman soit édité avec autant de défauts, ça ne fait pas professionnel et ça ne donne pas envie de défendre un livre à l'aspect brouillon.
C'est la première fois que je tenais entre les mains un livre des Éditions Eric Bonnier et après cette lecture, je peux vous dire que je n'ai pas particulièrement envie d’approfondir et de lire d'autres ouvrages de cette maison d'édition. Dommage !
Pour ne pas finir sur une note négative, je vous dirais donc que si vous avez envie d'une lecture simple et appréciable alors foncez sur ce livre, ce n'est pas de la grande littérature, ce n'est pas non plus un livre qui vous marquera ni que vous retiendrez, mais il vous fera passer quelques heures de lecture en plein cœur des années folles avec une héroïne atypique.
C'est un avis plus que mitigé que je vais vous faire lire aujourd'hui. Le temps d'une saison est un roman qui aurait pu me séduire, mais qui m'a malheureusement laissée sur la touche.
Je vais commencer par vous parler du visuel, j'aime beaucoup cette couverture qui représente assez bien le style des femmes des années 1920, époque où se passe l'histoire comme vous pouvez le voir dans le résumé. Le titre est joli, reste évasif et donne envie de creuser un petit peu plus pour voir ce que l'auteur va nous proposer dans son roman.
Justement dans ce roman j'ai aimé en découvrir un petit peu plus sur l'époque choisie par Siwar al-Assad, les années folles. C'est la première fois que je lis un livre avec autant de descriptions sur cette période et avec des détails qui nous permettent de nous évader, de nous imaginer à la place d'Angèle, l'héroïne. J'ai bien aimé les personnages et plus particulièrement cette femme que j'ai trouvée expansive et attachante. Elle a réussi à me faire sourire grâce à son extravagance qui fait tout son charme. C'est donc avec beaucoup d’intérêt que j'ai suivi la vie de cette Parisienne en Amérique.
En revanche, je n'ai pas été séduite par l'intrigue que j'ai trouvée trop simple et trop facile.
Je n'ai pas particulièrement été transportée par l'enquête qui est au cœur de l'histoire, celle qui concerne le vol d'objets d'art. J'ai trouvé cette partie trop prévisible, pas assez mouvementée, j'aurais aimé plus de rebondissements et de suspense.
L'auteur, Siwar al-Assad, a écrit son roman avec de la passion et l'envie de nous transmettre tout ce qu'il aime dans les années 20, cependant, si sa plume est agréable à parcourir, elle est aussi, à mon avis, pas assez travaillée. Je souhaite également relever un détail qui m'a vraiment agacé : il y a dans ce texte de nombreuses coquilles, je trouve cela vraiment gênant et terriblement agaçant. Ce n'est pas normal qu'un roman soit édité avec autant de défauts, ça ne fait pas professionnel et ça ne donne pas envie de défendre un livre à l'aspect brouillon.
C'est la première fois que je tenais entre les mains un livre des Éditions Eric Bonnier et après cette lecture, je peux vous dire que je n'ai pas particulièrement envie d’approfondir et de lire d'autres ouvrages de cette maison d'édition. Dommage !
Pour ne pas finir sur une note négative, je vous dirais donc que si vous avez envie d'une lecture simple et appréciable alors foncez sur ce livre, ce n'est pas de la grande littérature, ce n'est pas non plus un livre qui vous marquera ni que vous retiendrez, mais il vous fera passer quelques heures de lecture en plein cœur des années folles avec une héroïne atypique.
Les premières lignes:
-UN RIVAGE DE PROMESSES-
2 juillet 1920, Latitude : 40.14, Longitude : _72.02
Angèle observa avec nonchalance les gratte-ciels gris qui tels de minuscules morceaux de sucre se dressaient à l'horizon. Sa robe en coton bleu brodé caressait ses jambes au gré d'une brise qui fouettait parfois ses joues, accompagnée d'éclaboussures de petites gouttes salées. Elle passa sa main sur son visage espiègle. Sa coiffure surmontée d'un canotier à rubans roses se mêlait aux longues mèches de cheveux qui s'envolaient au vent, dessinant derrière elle une traîne qui la faisait repérer sur tout le pont. Les hommes se détournaient de leur femme pour observer à la dérobée le contour mince et svelte d'Angèle.
-UN RIVAGE DE PROMESSES-
2 juillet 1920, Latitude : 40.14, Longitude : _72.02
Angèle observa avec nonchalance les gratte-ciels gris qui tels de minuscules morceaux de sucre se dressaient à l'horizon. Sa robe en coton bleu brodé caressait ses jambes au gré d'une brise qui fouettait parfois ses joues, accompagnée d'éclaboussures de petites gouttes salées. Elle passa sa main sur son visage espiègle. Sa coiffure surmontée d'un canotier à rubans roses se mêlait aux longues mèches de cheveux qui s'envolaient au vent, dessinant derrière elle une traîne qui la faisait repérer sur tout le pont. Les hommes se détournaient de leur femme pour observer à la dérobée le contour mince et svelte d'Angèle.
Parlons de l'auteur:
Siwar al-Assad est Syrien. Il dirige une chaîne de TV, Arab News Network, basée à Londres. Il est l’auteur de À Coeur perdu, paru à nos éditions en mars 2012.
Siwar al-Assad est Syrien. Il dirige une chaîne de TV, Arab News Network, basée à Londres. Il est l’auteur de À Coeur perdu, paru à nos éditions en mars 2012.
Bibliographie:
♦A cœur perdu
♦Autopsie d'un demi-dieu
♦Le temps d'une saison
Quelques liens indispensables:
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