Mes lectures :
Cette semaine j'ai lu :
Mes lectures actuelles :
Mes lectures prévues pour la semaine à venir:
In My Mailbox :
Mes réceptions de la semaine
Il est des livres qui s’insinuent en nous. Des histoires qui commencent avec la légèreté du vol d’une abeille qui entre en bourdonnant par la fenêtre. L’histoire de Laurence Finet — son histoire ?— en fait partie. Un mari aimant, quatre beaux enfants, un travail sans doute trop prenant mais peu importe, demain c’est les vacances… Et puis l’abeille pique. Et la douleur provoquée par la piqûre rappelle une autre blessure, plus ancienne. Nous voici alors inexorablement emportés. Derrière la légèreté du ton, des mots jetés, une accumulation de maux que l’on aurait crue inexprimable. Avec une grande pudeur et une bonne dose d’humour, Laurence Finet raconte les épreuves traversées, sans rien nous épargner. Et c’est grâce à une infinie délicatesse qu’elle parvient à nous faire ressentir toute la violence et l’horreur de ce qu’elle a dû endurer : « J’ai parlé. J’ai vomi des bribes de mon passé avec une telle violence que je me demande comment j’arrive encore à respirer. » Un témoignage soutenu par la force implacable du réel mais qui se lit comme un roman. Une fois refermé, plus d’autre choix que de respirer l’air et la vie à pleins poumons.
Dans cette rue typique de Londres, les habitants et voisins se disaient à peine bonjour et vivaient chacun de leur côté. Jusqu’à l’arrivée d’Alfie, un chat errant parti de chez lui quand sa maîtresse est décédée. Et du jour au lendemain, cet adorable petit félin a changé la vie de tout le quartier.
Alors, quand une nouvelle famille s’installe dans la rue, Alfie sait qu’il va avoir du travail. Pourquoi ces gens ont-ils emménagé en pleine nuit ? Ne sont-ils pas un peu trop discrets ? Et pourquoi ont-ils toujours l’air si triste ?
Intrigué, Alfie mène l’enquête, avec l’aide des autres chats du quartier. Et cette famille, plus qu’aucune autre, a besoin de l’aide d’Alfie. Parviendra-t-il à éclairer d’un jour plus souriant leurs moments les plus sombres ? Ou bien est-il déjà trop tard ?...
brouille les pistes. Pourtant les meurtres qui troublent la quiétude de Giverny, le
village cher à Claude Monet, sont bien réels. Au coeur de l’intrigue, trois femmes :
une fillette douée pour la peinture, une institutrice redoutablement séduisante
et une vieille femme aux yeux de hibou qui voit et sait tout. Et puis, bien sûr, une
passion dévastatrice. Le tout sur fond de rumeur de toiles perdues ou volées,
dont les fameux Nymphéas noirs. Perdues ou volées, telles les illusions quand
passé et présent se confondent et que jeunesse et mort défient le temps.
”Lorsque tu entends Hector, tu comprends que l'égalité entre les hommes est une utopie… De ses mains obstétricales il fait jaillir dans le monde la musique de Schubert.”
Lifetime :
"Le charme discret de l'intestin" de Giulia Enders lu par Jessica Monceau
Audiolib
Sur le blog :
Mon planning de cette semaine :
CHRONIQUES:
♦Divergente T2 : Insurgent
♦Sirius
♦Le charme discret de l'intestin
♦Te laisser partir
RENDEZ-VOUS:
♦Le charme discret de l'intestin
♦Te laisser partir
RENDEZ-VOUS:
♦Samedi → BookNews
♦Dimanche →Sunday's Books
♦Lundi → Les sorties littéraires
Et pour finir une petite citation littéraire :
Et voilà !! J'espère que cet article vous a plu !
Bise et bon dimanche :)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Un petit mot de votre part fait toujours plaisir ♥