11 janv. 2016

Les sorties littéraires du 11 janvier au 17 janvier 2016

"Le seul moyen de se délivrer de la tentation, c'est d'y céder" (Oscar Wilde)
BONNES LECTURES !!!

Couverture de Aujourd'hui dans le désordre
« Elle entend des voix familières, celles de ses frères et de sa mère, une voix familière dans une situation incongrue : son père parlant chinois. Elle entend des lamentations et des encouragements, des haussements de ton et des hésitations. Ça vit, dans ce salon. C’est délabré comme jamais, pourri, rôti, ça pue pas mal, mais ça vit vraiment, dans ce salon, et ça se mélange. Elle ne prête plus attention à ce qui est dit, elle se réjouit seulement de ces allées et venues de vibrations dans l’air, de toute cette vie contenue dans ces discours. »
Janvier à Genève. Louise et ses frères ont inscrits le grand appartement familial sur un site afin d’accueillir des voyageurs pour quelques jours. Leur première invitée est Victoria, une jeune Anglaise en quête d’aventure. L’appartement se remplit au rythme des arrivées alors que dehors le climat se dégrade. Bientôt, une tempête de neige va bloquer tout le monde à l’intérieur, les forçant à s’organiser… Entre réflexion sur la décroissance et comédie enjouée, Guillaume Rihs signe un roman plein de charme et de fantaisie.

Couverture de L'évadée
Nouvellement diplômées, les étudiantes Zoé et Holli prennent la route pour Las Vegas juste pour décompresser. Pourtant, les choses tournent horriblement mal sur le chemin du retour, et la dernière fois que Zoé voit son amie Holli, celle-ci est aux mains d’un tueur sadique. Zoé parvient à s’évader, mais pour elle, plus rien ne sera jamais comme avant.
Un an plus tard, Zoé est toujours tourmentée par les remords, et se jette à corps perdu dans une enquête de police sur un crime qui ressemble étrangement à son propre enlèvement. Avec l’aide d’un enquêteur zélé, elle retrace ses pas dans l’espoir de retrouver la mémoire, de découvrir ce qui s’est passé dans le désert durant cette nuit fatidique et aussi d’obtenir que justice soit faite pour Holli. Son ravisseur, surnommé « le Numéroteur » par des médias fascinés, est à l’affût de Zoé. Pour lui, elle n’est pas une survivante, mais simplement celle qui s’est échappée.
L’évadée nous offre une héroïne inoubliable, un psychopathe effroyable et profondément perturbé, ainsi qu’un récit mené tambour battant. L’auteur à suspense, Simon Wood, est ici au sommet de son art.

Couverture de Le Collier d'Or, Tome 1: Le Choix
Pour Teman, gitan né au XIème siècle, la liberté vaut plus que tout. Avec Jasim, son meilleur ami, ils monnaient leurs services en tant que voleurs – jusqu’à cette nuit où ils se font prendre, et qui signe la fin de leur précieuse liberté. On leur propose de choisir entre le cachot et l’esclavage sexuel au palais ; ils deviennent esclaves, mais Teman jure de s’échapper.
Bathasar n’a aucune envie de monter sur le trône. Il préférerait que son frère devienne malik à sa place, ce qui convient parfaitement à leur sadique de père, Mukesh. Lorsque Teman, le bel esclave qu’il a observé en secret, lui sauve la vie, Bathasar a pour la première fois recours aux services d’un esclave. Bathasar et Teman ne tardent guère à tomber amoureux, mais leur bonheur est loin d’être idyllique. Un jour, Mukesh brutalise Teman devant la cour et s’attire les foudres de l’impératrice d’un pays voisin. Afin de l’apaiser, il lui offre Jasim en cadeau, et Teman décide de courir le risque de rester aux côtés de Bathasar.
Le calme est de courte durée. Mukesh projette d’envahir le pays d’adoption de Jasim, et Bathasar doit trouver un moyen d’empêcher la catastrophe. Mais s’il y parvient, il devra monter sur le trône et disposera alors du droit de libérer Teman, qui le quittera sans doute… Quel autre choix pourrait faire un gitan ?

Couverture de Les enfants du brouillard
Sadie O'Connell est écrivaine, auteur de best-sellers, et heureuse mère d’un petit garçon. Mais sa vie est sur le point de sombrer dans le chaos. Quand Sam, son fils de six ans, est enlevé par un kidnappeur en série, elle manque de perdre la raison. Mais ce ne sont pas seulement la peur et le chagrin qui la torturent : c’est la culpabilité. Seule Sadie sait à quoi ressemble le kidnappeur. Et elle ne peut en parler à personne. Car si elle le fait, son fils lui sera renvoyé « en petits morceaux sanglants ».
Quand le mari infidèle de Sadie tombe par hasard sur le portrait qu’elle a esquissé du ravisseur, il met en branle une série d’évènements horribles qui font basculer l’univers de la jeune femme. Sa descente dans l’alcoolisme entraîne d’étranges apparitions et un face à face avec le monstre qui a enlevé son fils – un homme auquel on ne connaît qu’un nom : le Brouillard.

Couverture de Tu me trouveras au bout du monde
Jean-Luc Champollion, galeriste parisien, s’était promis de ne plus jamais écrire une seule lettre d’amour depuis une terrible déception à l’adolescence. Pourtant, lorsqu’il en découvre une dans sa boîte à lettres, intrigué, il ne peut s’empêcher d’y répondre. Une relation épistolaire nourrie naît alors entre le jeune homme et l’énigmatique Principessa. Mais cette dernière sait ménager le suspense, et l’entraîne dans un jeu de piste amoureux avant d’accepter de se dévoiler en chair et en os. Pris au jeu de ce tendre duel, Jean-Luc s’enflamme. Qui est donc cette femme qu’il imagine sans la voir, qu’il comprend sans la connaître ? Comment la convaincre de se livrer ? Devra-t-il aller jusqu’au bout de la terre pour la tenir enfin serrée dans ses bras ?
Nicolas Barreau est incontestablement un maestro de la comédie romantique. Multipliant les fausses pistes et les contretemps, le lecteur mène l’enquête tambour battant aux côtés du héros. Un roman rafraîchissant et teinté d’humour où nous découvrons deux personnalités attachantes, autour desquels gravite une galerie de personnages secondaires savoureux. Tu me trouveras au bout du monde est un pur moment de plaisir. On en redemande !

Couverture de La vie à côté
Rebecca est laide. Extrêmement laide. Elle se tient prudemment hors du monde pour ne pas être blessée. Son père, médecin, n’est presque jamais là ; sa mère, une beauté, ne supporte pas d’avoir engendré un physique si ingrat et vit cloîtrée depuis sa naissance. Pour consolations, Rebecca peut compter sur l’amour de sa nourrice, Maddalena, et l’impétuosité de sa tante, Erminia, qui décide de l'initier au piano. Rebecca va dès lors concentrer sa vie dans la seule partie de son corps épargnée par la difformité : ses mains. Une autre vie est possible, un autre langage, une vie à côté.
Dans ce premier roman, Mariapia Veladiano comble le silence et les bruits étouffés en donnant voix à la différence.

Couverture de Autopsie d'un père
Ania n'a pas vu son père Gabriel depuis quatre ans. Elle lui rend visite avec son fils, mais la rencontre tourne court. Quelques jours plus tard, Clara, la femme de son père, lui apprend qu'il s'est suicidé. Le jour de l'enterrement, les passions se déchaînent, chacun prenant position pour ou contre le défunt : Gabriel avait provoqué un scandale en défendant deux jeunes ayant massacré un Comorien.

1933. Clara Vine, jeune actrice anglaise pleine d’ambition, part tenter sa chance à Berlin. Au cœur des studios mythiques de l’Ufa, elle se retrouve dans le cercle des femmes des hauts dirigeants nazis, dont l’impressionnante Magda Goebbels. Pour Leo Quinn, un agent du renseignement anglais, la jeune femme est la recrue idéale. Et, malgré le danger, Clara n’hésite pas à espionner ses nouvelles relations. Mais lorsque Magda lui révèle un lourd secret et lui confie une mission, toutes ses certitudes basculent. Clara est alors confrontée à un choix difficile.

Couverture de Le bout du monde
« Étais-je encore en Afghanistan parce que je n’avais pas la moindre idée de ce que j’allais devenir ? Comment mettre de la distance entre moi et moi-même, alors que je vivais déjà aux confins du monde. »
Pascal a ouvert un restaurant, Le Bout du Monde, à Kaboul. Hommes, femmes, voyageurs aux grandes causes et aux bagages trop lourds s’y retrouvent pour comploter, rire, boire, aimer, oublier… Mais après l’excitation des premières années, ne faut-il pas s’en aller encore ? Pascal passe de plus en plus de temps dans son minuscule bureau, à écouter les rumeurs du monde et à se souvenir de ses vies passées.
La disparition de son ami d’enfance, Corto, compagnon de toutes ses aventures, pourrait l’obliger à sortir de sa léthargie pour tenter de le retrouver.
Un roman empreint d’un mélange unique d’humour et de mélancolie, du souffle des grands voyages et des rêveries immobiles.

Couverture de Le printemps du loup
Printemps 1945. Pour fuir les Allemands, Pietro, un orphelin de dix ans rêveur et débrouillard, quitte précipitamment le couvent où il était caché, près de Venise. Avec lui, un petit groupe hétéroclite : Dario, son meilleur ami, Maurizia et sa sœur cadette Ada, deux vieilles dames juives, et Elvira, une jeune religieuse, aussi suspecte que belle, qui tient un journal et dont le récit alterne avec celui de Pietro. Traqués par les nazis, ils reçoivent l'aide d'un pêcheur et d'un frère énergique. Karl, un déserteur allemand dissimulant un lourd secret, les rejoint.
Leur folle équipée les conduira au-devant de partisans et fascistes désorientés. Une véritable épopée, où, si les hommes et les lieux sont chargés de défiance et de terreur, une lueur de bonté réussit, de temps en temps, à percer les ténèbres.

Couverture de La décision
« Avec un frisson, il avait repensé à cette parole prophétique de Heine : ce n’était qu'un prélude. Là où l’on brûlait des livres, on finissait par brûler des gens. »
B. B.
En 1933, Thomas Mann quitte Munich pour un voyage en Suisse, avec sa femme Katia et leurs enfants. Pendant ce temps, en Allemagne, le monde s'écroule. C'est le début de l'exil... Un exil d'abord résigné, jusqu'à ce jour de février 1936 où l’écrivain décide de condamner publiquement le régime nazi.
Lorsqu’il apporte cette lettre à son ami journaliste Korrodi afin qu’elle soit publiée, celui-ci est souffrant, et la publication est retardée de trois jours. Trois longs jours durant lesquels le doute va s'emparer de lui. Peut-on continuer à écrire lorsqu'on a perdu la reconnaissance de sa patrie, de ses lecteurs ? Et en tant que mari et père, a-t-on le droit de mettre en péril la vie des siens ?

Couverture de Correspondances étrangères
Le monde est sa patrie. Il est né au Pakistan, il a vécu en Italie, en Angleterre, aux États-Unis. Jeune romancier surdoué (L'intégriste malgré lui, Comment s'en mettre plein les poches en Asie mutante), Mohsin Hamid est aussi un infatigable voyageur, à la culture aussi vertigineuse que cosmopolite. Passant avec un enthousiasme contagieux de la chronique intime à la réflexion sur la mondialisation, de la littérature à la politique, du cinéma au questionnement religieux, les 36 essais rassemblés dans ce recueil, écrits au gré des circonstances au cours des quinze dernières années, dressent un tableau singulièrement vivant de notre monde, et un autoportrait intellectuel non moins original. Qu'il nous livre ses réflexions sur la paternité ou sur les rapports entre l'Islam et l'Occident, qu'il nous raconte la projection d'un film hollywoodien à Lahore ou qu'il rende hommage aux écrivains qui l'inspirent, de Toni Morrison à Murakami en passant par Camus ou Tabucchi, jamais Mohsin Hamid ne se départit de son humour et de sa lucidité. Réjouissante déclaration de guerre à tous les dogmatismes, cet essai pluriel est la profession de foi d'un véritable honnête homme de notre temps.

Couverture de À la vie, à la mort
Un thriller psychologique machiavélique qui explore le côté sombre des amitiés fusionnelles
Certaines amitiés s'essoufflent. Rachel et Clara se sont promis que la leur durerait toujours.
Le jour de leur rencontre, Rachel était la petite nouvelle et Clara, celle avec qui tout le monde voulait être ami. À l'approche de la trentaine, les deux femmes sont toujours aussi étroitement liées mais les rôles sont inversés. Rachel poursuit une brillante carrière à la télévision et mène une vie stable avec son petit ami ; Clara, elle, perd peu à peu le contrôle de son existence.
Quand Rachel doit enquêter sur une disparition, elle est loin de se douter qu'il s'agit de sa meilleure amie. Que cache cette disparition ? Est-ce un enlèvement, un suicide ou bien tout autre chose ?

Couverture de Un gros poisson
« Ainsi va tout poisson... »
Candy et Karl ne sont pas des tueurs à gages ordinaires : ils ont des scrupules et ne tuent que les personnes qui, selon eux, le méritent. Leur nouvelle mission : éliminer un agent littéraire véreux, L. Basse Hess, qui cherche à extorquer des commissions exorbitantes à ses clients pour des titres qu'il n'a même pas vendus ! Mais Hess va leur donner du fil à retordre...

Couverture de Le vrai statut de ma vie
Kate, 35 ans, est totalement accro aux réseaux sociaux. Aussi, quand son fiancé décide de mettre un terme à leur romance, la veille de leur mariage, c’est tout naturellement qu’elle partage son désespoir sur Facebook.
Un phénomène étrange se produit dans les jours qui suivent : sa vie réelle devient le parfait reflet de ses statuts Facebook. En pianotant sur son clavier ou son Smartphone, elle peut ainsi, comme par magie, changer son destin ou celui de ses deux meilleurs amis, Julia et Liam, les seuls à connaître son surprenant pouvoir, et surtout à y croire !
Dès lors, Kate s’évertue à remonter le temps pour réécrire son histoire d’amour avec Max et éviter à tout prix qu’il ne la quitte. Malheureusement, ses tentatives pour améliorer les choses ne se déroulent pas toujours comme prévu et la situation ne fait qu’empirer. Mauvaises manœuvres, réactions inattendues, dommages collatéraux… changer le destin ne s’avère pas si simple !
Finalement, Kate n’aurait-elle pas intérêt à se déconnecter et à laisser la vie suivre son cours ?
Un style… addictif ! Le pouvoir de Kate permet de nombreux rebondissements et renversements de situations qui rythment le récit tout en lui donnant cette touche d’humour propre à la chicklit. Les dialogues piquants participent de ce ton direct et savoureux qui sait aussi se faire tendre et émouvant.
Liz Fenton et Lisa Steinke cultivent leur amitié depuis 25 ans, et n’hésitent pas à s’inspirer allègrement de leurs propres expériences et petites galères du quotidien pour écrire. Après À nos vies (presque) parfaites ! (octobre 2015), ce roman est leur deuxième roman écrit à quatre mains.

Couverture de Mon combat, tome 3 : Jeune homme
Par une belle journée d’août 1969, une famille emménage dans sa nouvelle maison de Tromøya, dans le sud de la Norvège. C’est ici que le fils cadet, Karl Ove, va passer son enfance, rythmée par les expéditions à vélo, les filles, les matchs de football, les canulars pyrotechniques et la musique. Pourtant, le jeune Karl grandit dans la peur de son père, un homme autoritaire, imprévisible et omniprésent. 
Ce troisième opus est le portrait sans fard d’un enfant à la personnalité complexe et terriblement sensible. Knausgaard y dépeint un monde dans lequel enfants et adultes évoluent selon des trajectoires qui ne se croisent jamais, cette période de la vie durant laquelle chaque victoire et chaque défaite est ressentie avec violence, où toute tentative de se construire est vouée à la frustration. 
Un récit sur l’enfance et la famille, doublé d’un portrait de l’écrivain en jeune homme, nouveau volume de l’exceptionnelle fresque autobiographique de Karl Ove Knausgaard.

Couverture de Une autre que moi
Se retrouver face à un homme de quatre-vingts ans qui prétend être lui-même : c’est l’étrange expérience que fait Fred le soir de ses quarante ans. Peut-on modifier le cours du temps ? Qui y perdrait, et à quel prix ? 
Ce défi, que chacun redoute et souhaite à la fois, Véronique Olmi, jouée en France et à l’étranger par les plus grands metteurs en scène depuis Chaos debout et Mathilde, l’exprime au fil d’un dialogue aussi singulier qu’inquiétant.

Couverture de Sa Majesté Maman
À la fin d'un après-midi de détente, Birte Ragde pose à sa fille la question cruciale : « quelle mère ai-je été ? ».
Cet échange est le début d'un voyage dans le passé, qui dresse le portrait sincère d'une mère célibataire, indépendante, forte et parfois excessive... 
Conductrice en enchef d'un chariot élévateur chez un fabricant de sacs plastique, Birte Radge exerce un métier atypique. Dotée d'un caractère haut en couleur, de capacités intellectuelles insoupçonnée, et d'une fidélité viscérale envers le Parti conservateur norvégien, c'est également une débrouillarde hors pair, capable de concevoir des mets savoureux à partir de rien du tout... 
De son parcours dans l'existence émerge un tableau délicieusement coloré, à l'image de son tempérament : provocant et captivant à la fois.

Couverture de Les Ailes d'Alexanne Tome 6 : Sirènes
Dans ce sixième tome toujours plus palpitant que les précédents, la jeune Sara-Anne, accompagnée d’Alexanne et de leurs amis, se rend aux Bahamas afin de rencontrer un mystérieux bienfaiteur. En chemin, le hasard place sur leur route l’équipage du Rédemption, un navire à la recherche des vestiges de l’Atlantide. Cette rencontre inopinée changera-t-elle leurs plans?

Couverture de Le Gardien de nos frères
Entre 1939 et 1967, de Paris à Toulouse et de New York à Tel Aviv, l'extraordinaire destin de deux êtres fracassés par la guerre. 
Rien ne prédestinait Simon et Léna à se rencontrer. Lui appartient à la bourgeoisie juive parisienne, patriote, laïque et assimilée ; il a été maquisard et blessé au combat. Elle est issue d'un milieu de petits commerçants polonais et a réussi à survivre au Ghetto de Varsovie.
En 1945, la guerre leur a tout pris. Chacun de leur côté, ils vont accepter une mission très particulière : rechercher des enfants juifs cachés par leurs parents dans des familles, des orphelinats ou des couvents, quand il s'avère que ceux-ci ne rentreront pas des camps. Simon parce que son petit frère Elie a disparu dans des conditions mystérieuses ; Léna car elle espère ainsi redonner du sens à sa vie. Et cela va les entraîner bien au-delà de ce qu'ils auraient pu imaginer.
C'est l'histoire de deux jeunes révoltés qui, dans une France exsangue, vont se reconstruire grâce à la force de l'amour. De Paris à Toulouse, d'Israël à New-York, un roman d'aventure porté par le souffle de l'Histoire.

Couverture de PhonePlay
Dans le lycée d'Oxford, un garçon de terminal s'amuse à draguer des filles par message et à les faire tomber amoureuse de lui. Il leur promet cependant une chose : Si l'une d'elles découvre qui il est, il sera à elle et devra réaliser toutes ses volontés. Mais jusque là, personne n'est parvenu à découvrir son identité. 
Un soir, ce garçon décide d'envoyer un message à Alyssa, une fille de première, à qui il n'a jamais parlé…
"Si tu découvres qui je suis, je serai à toi."
Que se passe-t-il lorsqu'un jour, un mystérieux garçon vous propose de jouer à un jeu sordide dont vous ignorez les proportions ?

Couverture de Prendre Gloria
Le 12 septembre 1993, dans la petite commune italienne de P., Gloria Prats quitte son amie Elena pour un rendez-vous furtif. Elle franchit le perron de l'église de la Miséricorde. Mais les minutes deviennent des heures, et Gloria ne ressort pas. Une fugue ? Un enlèvement ? Pire encore ?
Tous les regards se tournent vers Damiano, étrange jeune homme aux déviances notoires, connu pour collectionner les mèches de cheveux des jeunes filles...
Une enquête s'ouvre, sans corps, sans explication. Dans la petite communauté municipale, la colère et l'indignation grondent. L'ombre des magistrats menace. Chaque pierre se met bientôt à vibrer du silence de la disparue.
L'histoire retiendra que ce 12 septembre à P., les minutes sont devenues des heures. Et le temps, un bourreau.

Couverture de Cœur de lapin
Il est des secrets de famille plus mortels qu'un poison.
La nouvelle révélation du polar allemand, par l'éditeur de Nele Neuhaus.
Gesine Cordes s'occupe des jardins dans le cimetière d'une petite ville allemande. Un matin, tandis qu'elle apporte des couronnes mortuaires dans la chapelle, elle comprend que celles-ci sont destinées à recouvrir la sépulture de sa propre soeur, Mareike. Choc. Les deux femmes ne se sont pas vues depuis dix ans, depuis que Philipp, le fils de Gesine âgé de deux ans et demi, a perdu la vie dans des circonstances troubles. À l'époque, les deux soeurs se sont déchirées, se rejetant la faute. Avec ce deuil, Gesine a tout perdu : son poste d'inspectrice à la brigade criminelle, sa maison qu'elle ne pouvait plus entretenir, son mari, sa famille avec laquelle elle a coupé tous les ponts. Aujourd'hui encore, elle a la conviction profonde que sa soeur est responsable du drame. S'il est trop tard, à présent, pour s'expliquer et pour pardonner, la mort de Mareike ne cesse de la hanter : était-ce un accident, un suicide ou pire, un meurtre ? Gesine ne peut plus, désormais, tourner le dos à la vérité. Et pour faire toute la lumière sur cette tragédie, elle va devoir exhumer les fantômes de son passé, à la brigade criminelle comme dans son histoire familiale...

Couverture de Quantum Trilogy, Tome 1 : Virtuous
L'amour peut-il s'affranchir du sexe ?
Virtuous est le premier volet d'une série addictive et passionnante, un pur moment de bonheur de lecture.
Natalie arrive du Nebraska pour être maîtresse d'école à New York.Un jour où elle promène son chien, elle tombe, son chien lui échappe et pénètre sur le tournage d'un film. L'homme qui l'aide
à se relever, Geoffrey est l'une des grandes stars d'Hollywood. Dès qu'ils se regardent, ils tombent amoureux l'un de l'autre. Mais Natalie a un secret, elle veut bien être son amie mais il n'y aura pas de relation sexuelle entre eux. Elle lui explique qu'elle a été violée quand elle avait 15 ans. Il est tellement fou d'elle qu'il accepte bien qu'étant un dominant sexuel, adepte de jeux BDSM et possédant une boîte très privée où se déroulent des soirées très chaudes.
Natalie, elle, est mystérieuse, douce, un peu naïve et attachante. Elle vit avec Leah, une colocataire rigolote et extravertie. Après une semaine où ils se voient tous les jours et ne font que
parler et échanger des baisers torrides, ils partent ensemble à Los Angeles pour la cérémonie des golden globes où il remporte le prix du meilleur acteur. Après la cérémonie, ils font l'amour et laissent exploser leur désir.
De retour à New York Geoffrey met un garde du corps pour protéger Natalie. Malheureusement, la presse à scandale découvre que la jolie jeune femme qui est apparue au bras de Flynn n'est pas celle qu'elle prétend être, mais qu'elle a été violée par le gouverneur du Nebraska quand elle avait 15 ans et que celui-ci a été condamné à 25 ans de prison.
Mais qui a pu trahir le secret de Nathalie ?...

Couverture de Westwood
Londres, 1940. Margaret, jeune institutrice de 23 ans, a rejoint la capitale où elle s'est installée chez ses parents. Sensible, réservée, " pas très séduisante " – dixit sa mère –, elle peine à s'épanouir, à l'inverse de sa meilleure amie d'enfance, la délicieuse et pétillante Hilda. Margaret nourrit une véritable passion pour le dramaturge Gerard Challis, vivant dans la somptueuse demeure de Westwood. Le hasard aidant, elle va réaliser son rêve et pénétrer l'univers des Challis et leur cercle d'intellectuels, qui l'avait tant fasciné. Toutefois, elle se heurte rapidement au rejet des deux hommes qu'elle aime. Pas à pas, la jeune femme se transforme, grâce au concours de Zita, une réfugiée juive allemande vivant dans la famille, qui l'initie à la musique et à la coquetterie. La métamorphose prend son essor final lorsque Margaret découvre que Challis poursuit en vain la belle Hilda qui refuse tout de go ses avances. Détrompée, elle est désormais prête à vivre pleinement et à s'accepter. Westwood est un roman d'initiation intelligent et truffé d'humour – l'auteur excelle et se délecte avec un galerie de personnages hauts en couleur – ayant pour toile de fond Londres en guerre, dépeinte avec un réalisme saisissant. Stella Gibbons, avec nuances et subtilités, suit les errances sentimentales d'une jeune femme dans son émouvante recherche d'un idéal de vie. Un savoureux écho à l'adage bien connu : trébucher pour mieux se relever.

Couverture de La Vie en Rosalie
Rosalie Laurent tient une jolie papeterie à Paris rue du Dragon, où elle confectionne et vend des cartes poétiques. Un jour, un vieil homme entre et renverse un présentoir. Quelle n'est pas la surprise de Rosalie face à cet inconnu qui n'est autre que Max Marchais, dont les albums ont bercé sa jeunesse ! Séduit par son talent, il lui propose d'illustrer son célèbre conte, Le Tigre bleu. Ravie de cette heureuse collaboration, elle expose l'ouvrage publié dans sa devanture. Mais un jour, un professeur de littérature anglo-saxonne, fraîchement débarqué des États-Unis, surgit dans son magasin et, après avoir lui aussi renversé un présentoir, soutient mordicus que l'histoire du Tigre bleu lui appartient. Max Marchais serait-il un plagiaire ? Les deux jeunes gens, d'abord hostiles, vont faire cause commune pour enquêter et mettre au jour un secret qui les liera à tout jamais. Comme dans les précédents Barreau, le destin se nourrit de coïncidences, de hasards et l'amour savamment contrarié doit triompher de malentendus et quiproquos. Régal de suspense et d'émotion, La Vie en Rosalie est une histoire mutine dont le charme délicatement anachronique est une incitation à prendre son temps et savourer les petits riens de la vie.

Couverture de Ta façon d'être au monde
« C’est l’heure du départ, la fin de l’été. Il faut rentrer. Dans la chambre, je reste transie, incapable de bouger. C’est l’angoisse et les regrets qui me paralysent. Je comprends que je n’ai pas pris le temps de défaire mes valises, ni même de regarder à la fenêtre. Maintenant que je réalise qu’on y voit la mer, il est temps de m’y arracher. Le séjour est passé sans moi. J’étais là, et je ne le savais pas. J’en conçois une tristesse et une culpabilité infinies, sans commune mesure avec les faits. Tu connais ce rêve étrange que je t’ai souvent décrit.
Il m’a hantée chaque nuit pendant des années. Et puis un jour je ne l’ai plus fait.
Ce jour-là, j’ai compris que l’été avait duré vingt-six ans. »
Elles sont amies d’enfance. L’une est inquiète, rêveuse, introvertie ; l’autre est souriante, joyeuse, lumineuse. Ensemble, elles grandissent, découvrent la vie, l’amour. Jusqu’à ce qu’un drame bouleverse le monde qu’elles se sont bâti... Un roman poignant sur l’amitié, le deuil, et sur ce point de bascule irréversible qui sonne la fin de l’insouciance.

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