Auteur: Anna Todd
Genre: Romance
Nombre de pages: 534
Date de sortie: 07/05/2015
Prix support papier: 17€00
Prix format numérique: 12€99
ISBN: 978-2755618525
Editions: Hugo Roman
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Synopsis:
La vie n’a jamais été rose pour Tessa et Hardin, mais chaque nouveau défi auquel ils doivent faire face renforce leur amour et le lien passionné qui les unit est de plus en plus solide. Mais quand un pan de son passé, qu’il n’aurait pu imaginé, lui est révélé, Hardin est touché au cœur. Tessa de son côté subit une tragédie. Les deux amants vont-ils résister à tant de cruauté ?
Finalement leur histoire familiale, si elle est choquante, ne semble pas très différente l’une de l’autre. Et Tessa n’est plus la douce et gentille fille qu’elle était quand elle a rencontré Hardin, pas plus qu’il n’est le cruel et sombre garçon dont elle est tombée amoureuse. Elle comprend toutes les troublantes émotions sous la carapace d’Hardin et sait qu’elle est la seule qui peut le calmer. Il a besoin d’elle.
Mais plus le passé d’Hardin resurgit, plus il est inquiet et triste, et plus il repousse Tessa et tous les autres au loin. Tessa n’est pas sûre de pouvoir le sauver sans se sacrifier. Elle refuse de l’abandonner sans se battre, mais combattre qui : Hardin ou elle-même ?
Mon avis:
Je remercie les Éditions Hugo Roman pour cette lecture.
Je remercie les Éditions Hugo Roman pour cette lecture.
Ma notation:
Est-ce que je vous recommande ce roman:
Ce n'est pas une série que je vous conseille particulièrement.
Ce n'est pas une série que je vous conseille particulièrement.
Informations:
Ce roman contient 1 prologue, 79 chapitres et 1 épilogue.
Ce roman contient 1 prologue, 79 chapitres et 1 épilogue.
Mes ressentis:
After 1, After 2, After 3, After 4, After 5... Cinq tomes qui se suivent et se ressemblent. Quoi vous dire de plus que ce que j'ai déjà relevé dans les autres volets ?
Pas grand-chose à vrai dire puisque l'histoire est toujours la même : Hardin, Tessa, ensemble, pas ensemble, disputes, alcool, séparations, amour, désamour et hop, c'est reparti pour un tour...
After aurait pu être sympa si Anna Todd en avait fait un one-shot et non pas cinq tomes. Pourquoi faire une histoire si longue et ennuyeuse en autant de volets ? Personnellement, je me suis rarement autant ennuyée qu'avec cette série. Je ne peux même pas vous faire un petit résumé de ce dernier volet parce que je vais vous spoiler les seules choses intéressantes.
After 1, After 2, After 3, After 4, After 5... Cinq tomes qui se suivent et se ressemblent. Quoi vous dire de plus que ce que j'ai déjà relevé dans les autres volets ?
Pas grand-chose à vrai dire puisque l'histoire est toujours la même : Hardin, Tessa, ensemble, pas ensemble, disputes, alcool, séparations, amour, désamour et hop, c'est reparti pour un tour...
After aurait pu être sympa si Anna Todd en avait fait un one-shot et non pas cinq tomes. Pourquoi faire une histoire si longue et ennuyeuse en autant de volets ? Personnellement, je me suis rarement autant ennuyée qu'avec cette série. Je ne peux même pas vous faire un petit résumé de ce dernier volet parce que je vais vous spoiler les seules choses intéressantes.
Anna Todd reste, avec ce dernier tome, fidèle à son style et à l'univers de sa série. Pas de surprise dans cette suite : Hardin et Tessa sont toujours aussi instables, nous sommes toujours dans le "je t'aime moi non plus"et c'est toujours aussi pénible et fatiguant.
Heureusement, l'histoire évolue un petit peu plus dans la seconde partie. Tessa perd un proche et cela va amener un peu de piment à l'histoire. Eh oui, il faut malheureusement en arriver là pour susciter de l’intérêt, car le reste m'a complètement laissée indifférente.
Suite au décès de ce proche, des révélations vont être faites, des douleurs vont être révélées et l'histoire évolue (enfin !). Puis Anna Todd va très très vite : elle fait défiler les années à la vitesse de l'éclair et ouf, libération, la fin est bien là. Adieu Hardin et adieu Tessa ! Avec ce dernier tome, la boucle est bouclée, la série est enfin terminée. J'ai lu ces cinq volets sans enthousiasme, car elle n'a absolument rien éveillé en moi. J'ai eu l'impression, et ce durant toute ma lecture, d'être devant une très mauvaise série américaine. C'est surjoué, lourd et lassant.
Une série que je bannis, que je vais m'empresser d'oublier et que je ne vous recommande pas.
Pour conclure:
J'ai été au bout de cette série qui dès le premier tome me laissait sceptique. Prise au jeu de la popularité d'Anna Todd et de ses livres, j'ai eu envie d'aller jusqu'au dernier tome afin de voir si l'auteure allait me réserver une bonne surprise, mais les tomes se suivent et se ressemblent tous et l'ennui et le désintérêt sont au final bien au rendez-vous.
Amour, Gloire et beauté ou Les feux de l'amour, faites votre choix, After est ni plus ni moins une série américaine mauvaise, longue et inintéressante.
Anna Todd n'est pas une auteure que je retiens et une chose est sûre, c'est que je n'irai pas chez mon libraire pour acheter ses prochains livres. C'est donc sans regret que je tourne la dernière page de son interminable roman et que je le referme pour ne plus jamais le rouvrir.
J'ai été au bout de cette série qui dès le premier tome me laissait sceptique. Prise au jeu de la popularité d'Anna Todd et de ses livres, j'ai eu envie d'aller jusqu'au dernier tome afin de voir si l'auteure allait me réserver une bonne surprise, mais les tomes se suivent et se ressemblent tous et l'ennui et le désintérêt sont au final bien au rendez-vous.
Amour, Gloire et beauté ou Les feux de l'amour, faites votre choix, After est ni plus ni moins une série américaine mauvaise, longue et inintéressante.
Anna Todd n'est pas une auteure que je retiens et une chose est sûre, c'est que je n'irai pas chez mon libraire pour acheter ses prochains livres. C'est donc sans regret que je tourne la dernière page de son interminable roman et que je le referme pour ne plus jamais le rouvrir.
*Angélique*
Extrait:
PROLOGUE
Hardin
Toute ma vie, je me suis senti indésirable, voire totalement déplacé. Ma mère a essayé de m’aider, elle a réellement et honnêtement essayé, mais ce n’était pas suffisant, tout simplement. Elle travaillait trop ; elle dormait le jour parce qu’elle était debout toute la nuit. Trish a fait ce qu’elle a pu, mais un garçon, particulièrement lorsqu’il est largué, a besoin d’un père.
Je savais que Ken Scott était un homme anxieux, un ambitieux mal dégrossi, jamais attendri ni satisfait de ce que je faisais. Le petit Hardin était pathétique à essayer d’impressionner ce grand mec qui emplissait notre maison merdique de cris et de gestes violents. Il aurait bien aimé que cet homme froid ne soit pas son père. Il soupirait, attrapait un livre sur la table et demandait à sa mère quand allait arriver Christian, le gentil monsieur qui le faisait rire en lui récitant des passages de vieux livres.
Mais Hardin Scott, cet adulte qui se bat contre son addiction et sa colère transmises par ce truc tout pourri qui lui sert de père, est fou furieux. Je me sens trahi, paumé et en colère, putain. Ça n’a pas de sens. Ce scénario des pères échangés à la sauce sitcom de merde ne peut pas s’appliquer à ma vie.
Des souvenirs enfouis refont surface.
Ma mère, le lendemain du jour où l’une de mes dissertes a été sélectionnée pour être publiée dans le journal du coin, balançant doucement son éloge au téléphone : « Je voulais juste que vous sachiez qu’Hardin est brillant. Comme son père. » J’ai regardé autour de moi dans le petit salon : l’homme aux cheveux sombres, avachi dans le fauteuil, sans connaissance, une bouteille d’alcool brun à ses pieds, était tout sauf brillant. J’ai pensé « c’est une putain d’épave » en le voyant remuer dans le fauteuil avant que ma mère ne raccroche vite fait le téléphone.
Il y a eu beaucoup d’incidents comme celui-ci, bien trop pour que je puisse les compter. J’étais vraiment trop con et trop jeune pour comprendre pourquoi Ken Scott était si distant avec moi, pourquoi il ne m’a jamais serré dans ses bras comme les pères de mes amis le faisaient avec leurs fils. Pourquoi il n’a jamais joué au foot avec moi, ne m’a jamais rien appris hormis comment devenir un putain d’alcoolo.
Tout ça en pure perte ? Est-ce que Christian Vance est réellement mon père ?
La pièce tourne autour de moi. Je regarde fixement cet homme qui m’a soi-disant donné la vie. Je décèle quelque chose de familier dans son regard vert, dans la forme de sa mâchoire. Ses mains tremblent lorsqu’il repousse une mèche de cheveux de son front, et je m’arrête en plein vol…
Je viens de me rendre compte que je fais exactement le même geste.
PROLOGUE
Hardin
Toute ma vie, je me suis senti indésirable, voire totalement déplacé. Ma mère a essayé de m’aider, elle a réellement et honnêtement essayé, mais ce n’était pas suffisant, tout simplement. Elle travaillait trop ; elle dormait le jour parce qu’elle était debout toute la nuit. Trish a fait ce qu’elle a pu, mais un garçon, particulièrement lorsqu’il est largué, a besoin d’un père.
Je savais que Ken Scott était un homme anxieux, un ambitieux mal dégrossi, jamais attendri ni satisfait de ce que je faisais. Le petit Hardin était pathétique à essayer d’impressionner ce grand mec qui emplissait notre maison merdique de cris et de gestes violents. Il aurait bien aimé que cet homme froid ne soit pas son père. Il soupirait, attrapait un livre sur la table et demandait à sa mère quand allait arriver Christian, le gentil monsieur qui le faisait rire en lui récitant des passages de vieux livres.
Mais Hardin Scott, cet adulte qui se bat contre son addiction et sa colère transmises par ce truc tout pourri qui lui sert de père, est fou furieux. Je me sens trahi, paumé et en colère, putain. Ça n’a pas de sens. Ce scénario des pères échangés à la sauce sitcom de merde ne peut pas s’appliquer à ma vie.
Des souvenirs enfouis refont surface.
Ma mère, le lendemain du jour où l’une de mes dissertes a été sélectionnée pour être publiée dans le journal du coin, balançant doucement son éloge au téléphone : « Je voulais juste que vous sachiez qu’Hardin est brillant. Comme son père. » J’ai regardé autour de moi dans le petit salon : l’homme aux cheveux sombres, avachi dans le fauteuil, sans connaissance, une bouteille d’alcool brun à ses pieds, était tout sauf brillant. J’ai pensé « c’est une putain d’épave » en le voyant remuer dans le fauteuil avant que ma mère ne raccroche vite fait le téléphone.
Il y a eu beaucoup d’incidents comme celui-ci, bien trop pour que je puisse les compter. J’étais vraiment trop con et trop jeune pour comprendre pourquoi Ken Scott était si distant avec moi, pourquoi il ne m’a jamais serré dans ses bras comme les pères de mes amis le faisaient avec leurs fils. Pourquoi il n’a jamais joué au foot avec moi, ne m’a jamais rien appris hormis comment devenir un putain d’alcoolo.
Tout ça en pure perte ? Est-ce que Christian Vance est réellement mon père ?
La pièce tourne autour de moi. Je regarde fixement cet homme qui m’a soi-disant donné la vie. Je décèle quelque chose de familier dans son regard vert, dans la forme de sa mâchoire. Ses mains tremblent lorsqu’il repousse une mèche de cheveux de son front, et je m’arrête en plein vol…
Je viens de me rendre compte que je fais exactement le même geste.
Parlons de l'auteur:
Anna Todd a 26 ans et vit au Texas avec son mari. Avant d’écrire cette série, elle lisait environ 3 livres par semaine… dont Beautiful Bastard, un de ses favoris ! Depuis After, elle se partage entre l’écriture et les conversations avec les internautes ( + 200.000 followers sur Twitter).
Bibliographie:
∞ After T1 → Editions Hugo Roman / Audible (2015) → Ma chronique
∞ After T2 → Editions Hugo Roman / Audible (2015) → Ma chronique
∞ After T3 → Editions Hugo Roman / Audible (2015) →Ma chronique
∞ After T4 → Editions Hugo Roman / Audible (2015) →Ma chronique
∞ After T5 → Editions Hugo Roman / Audible (2015)
∞ After T1 → Editions Hugo Roman / Audible (2015) → Ma chronique
∞ After T2 → Editions Hugo Roman / Audible (2015) → Ma chronique
∞ After T3 → Editions Hugo Roman / Audible (2015) →Ma chronique
∞ After T4 → Editions Hugo Roman / Audible (2015) →Ma chronique
∞ After T5 → Editions Hugo Roman / Audible (2015)
Quelques liens indispensables:
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