Je trouve ce petit billet beaucoup plus sympathique, personnel et complet que l'IMM habituel. J'aime le fait de parler, en plus de mon blog, des articles, chroniques et vidéos de mes copinautes.
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Mes réceptions de la semaine
Voyant leur fortune baisser peu à peu, la famille Elliot, dirigée par le baronnet Sir Walter et sa fille aînée, Elizabeth, est obligée de louer leur résidence principale, ne pouvant plus assurer leur train de vie là-bas. La famille décide donc de partir à Bath, où ils trouveront une résidence de leur rang avec un train de vie plus modeste.
Tenue à l’écart du déménagement, Anne, se réfugie chez sa soeur Mary, mariée depuis peu et déjà mère de deux garçons. Là-bas, la jeune femme rencontre Frederick Wentworth, son amour de jeunesse repoussé froidement pas son père. Devenu capitaine dans la marine anglaise, celui-ci l’évite et l’ignore totalement. Acceptant le fait de n’être plus aimée, Anne se demande alors sur quelles filles des Musgroves va se porter le choix du capitaine. Mais elle risque d’être surprise, car les apparences sont trompeuses...
A l’instant où elle pose les yeux sur l’imposant manoir gothique de Blackwood, le pensionnat où elle va passer l’année, un sentiment d’angoisse s’empare de Kit. Comme si un vent glacé traversait son cœur à chaque pas effectué vers la porte. Comme s’il y avait quelque chose de maléfique à l’intérieur des murs du pensionnat, perdu au milieu de nulle part. Lorsque d’étranges phénomènes viennent perturber son quotidien et que les trois autres pensionnaires se mettent à développer des talents artistiques incroyables, le malaise de Kit ne fait que s’intensifier. Hantée par une mélodie de piano, elle devient somnambule et aperçoit d’étranges silhouettes dans les couloirs sombres. Bien décidée à mener l’enquête, Kit découvrira que certains secrets feraient mieux de rester enfouis… car ils dépassent tout ce que la raison peut appréhender.
Deux nouvelles inédites sur l'amour et ses petits tracas par deux auteurs stars de la " Chick Lit " (littérature pour poulettes). Changing People (Les gens changent) : Par le plus grand des hasards, Sarah se retrouve à poser du papier peint chez son ancien petit ami, qu'elle a quitté il y a quelques années alors qu'il venait de la demander en mariage. Elle laisse parler son coeur et se retrouve dans une situation... délicate ! The Bamboo Confessions (Les confessions du bambou) : Sur un coup de tête, Katie, New-Yorkaise bon teint, décide de partir au Vietnam, pour un séjour " routard ". Ses parents et son petit ami avocat ont bien du mal à comprendre ses motivations. Ce voyage sera pourtant l'occasion pour Katie de faire le point sur sa vie...
Un amour total, désintéressé, tapi dans l’ombre, n’attendant rien en retour que de pouvoir se dire. Une déclaration fanatique, fiévreuse, pleine d’abnégation et de folie. La voix d’une femme qui se meurt doucement, toute entière tournée vers celui qu’elle vénère. Ici, nulle confusion des sentiments : la passion est absolue, sans concession, si pure qu’elle touche au sublime.
Léa Drucker met toute sa sensibilité dans une incarnation parfaite de l’ inconnue . Préface écrite et lue par Elsa Zylberstein.
Constance Young, présentatrice vedette de la chaîne new-yorkaise Key News, est retrouvée morte dans la piscine de sa résidence secondaire.
Un meurtre minutieusement préparé, qui glace d'effroi. Une fois la consternation passée, Eliza Blake, une autre journaliste star de la chaîne, découvre que sa jeune consoeur avait su s'attirer un certain nombre d'inimitiés - autant de suspects, qui tous avaient une bonne raison de l'éliminer. Stuart Vaughan, un homme dont Constance avait sali la réputation? Faith, sa soeur, jalouse de sa réussite? Boyd, son assistant, qui subissait brimades et vexations? Stuart Whitaker, un amoureux éconduit? Une enquête qu'Eliza Blake devra vite résoudre pour stopper l'hémorragie.
Quand Janie, une fillette de huit ans, et sa nourrice, Mme Garcia, sont enlevées en plein jour dans une banlieue résidentielle de New York, toute l'Amérique est en émoi.Et pour cause.
Janie est la fille unique d'Eliza Blake, la célèbre présentatrice de la tranche d'information matinale de Key News, la première chaîne de télé du pays.Les suspects sont légion. La propre fille de Mme Garcia, qui s'est volatilisée après l'enlèvement ? Un pédophile récidiviste aperçu le jour même non loin de chez Eliza ? Une femme psychologiquement perturbée, persuadée que Janie est sa fille ?Mais le FBI piétine...
Aussi Eliza, épaulée d’autres membres de Key News, décide-t-elle de faire confiance à une médium qui prétend recevoir des flashs concernant Janie : du sang, la lettre M, un voile de mariée... Mais le temps presse, les morts violentes se succèdent, et une demande rançon vient de tomber...
Le matin du 26 décembre 2004, un tsunami frappe l’Océan indien. Sonali Deraniyagala, en vacances au Sri Lanka, son pays natal, en réchappe miraculeusement. Mais, de sa famille, elle est la seule. La vague lui a pris ses parents, son mari et ses deux petits garçons. Wave raconte l’histoire de ce jour, où elle a tout perdu, et de tous ceux qui ont suivi. Les mois, les années lorsque l’insupportable déchirement du souvenir succède aux premiers moments d’horreur. La matière de ce livre, c’est la peine impalpable, indescriptible de la narratrice. Sonali Deraniyagala réussit un récit poétique, sans concession et incroyablement digne sur comment survivre à l’inimaginable.
Une romancière de trente ans, de retour dans son pays natal, et une octogénaire, vivant en quasi-ermite à l'orée d'un village suédois, se lient d'amitié. Par petites touches, ces deux femmes meurtries, recluses dans leur solitude, racontent des drames qu'elles n'avaient jamais révélés à personne. Au fil des saisons, elles réapprennent à se souvenir des belles choses qu'elles croyaient à jamais oubliées : un air de musique, un sourire... Et à s'ouvrir de nouveau au monde.
On est volontiers persuadé d'avoir lu beaucoup de choses à propos de l'holocauste, on est convaincu d'en savoir au moins autant.
Et, convenons-en avec une sincérité égale au sentiment de la honte, quelquefois, devant l'accumulation, on a envie de crier grâce. C'est que l'on n'a pas encore entendu Levi analyser la nature complexe de l'état du malheur. Peu l'on prouvé aussi bien que Levi, qui a l'air de nous retenir par les basques au bord du menaçant oubli : si la littérature n'est pas écrite pour rappeler les morts aux vivants, elle n'est que futilité.
À Munich, une série de meurtres abominables est perpétrée. Un maniaque fait subir à des femmes les pires tortures avant de les tuer… 48 heures plus tard.
Sabine Nemez, jeune inspectrice, se retrouve bien malgré elle mêlée à l’affaire : sa mère est l’une des victimes de ce psychopathe. Et c’est elle qui retrouve son cadavre près du grand orgue de la cathédrale Notre-Dame…
Assistée de Sneijder, un profiler doté d’un incroyable flair et d’un caractère bien trempé, elle se lance à la poursuite du tueur. Quel esprit dérangé est capable de commettre de telles atrocités, s’interrogent-ils ?
C’est alors que Sabine découvre qu’un livre pour enfants sert de modèle au criminel…
Féru d'érudition, Johannes parvient à quitter le village de Saint-Peter-sur-Anger, où la lecture est considérée comme un passe-temps hautement suspect, pour aller étudier en ville. Mais quand il rate son baccalauréat, le jeune homme doit retourner vivre chez ceux qu'il considère comme des barbares. Comble de l'horreur, ces derniers s'apprêtent à accueillir un club de football.
Lifetime :
Je vous présente la vidéo d'Actes Sud Éditions qui met en avant le roman Ah ! ça ira et son auteur Denis Lachaud
Sur le blog :
CHRONIQUES:
RENDEZ-VOUS:
Mon planning de cette semaine :
CHRONIQUES:
♦Mardi → Bilan d'août
♦Mercredi → La chronique de Muchachas écrit par Katherine Pancol
♦Jeudi → La chronique de Le vieux qui déjeunait seul écrit par Léa Wiazemsky
♦Vendredi →La chronique de Premier appel du paradis écrit par Mitch Albom
RENDEZ-VOUS:
♦Samedi → BookNews
♦Dimanche →Sunday's Books
♦Lundi → Les sorties littéraires
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