Genre: Jeunesse
Nombre de pages: 350
Date de sortie: 11/06/2011
Prix support papier: 12€50
Prix format numérique: 9€99
ISBN: 9782081308633
Editions: Flammarion
Synopsis:
Eva vit pour la musique et le rock. Lorsque ses grands-parents lui offrent un sac de vinyles qui ont appartenu à son père biologique décédé avant sa naissance, elle est bouleversée. Elle se découvre de nombreux points communs avec lui.
Mon avis:
Merci aux Editions Flammarion ainsi qu'à Brigitte Gautrand pour cette découverte.
Informations:
Ce roman contient 33 chapitres et 1 épilogue.
Mes ressentis:
Un livre jeunesse qui évoque la musique, j'adhère. Un livre jeunesse qui parle de Nirvana, j'adopte à la seconde et me plonge dans cette lecture avec plaisir !
Il est resté un long moment dans mes lectures en attentes, trop longtemps à mon goût, mais bon ...
Ce livre m'a tenté, pas grâce à la couverture que je ne trouve pas jolie, bien qu'elle est représentative de ce roman, mais pour son résumé qui m'a interpellée et intéressée.
Les quelques lignes du résumé expliquent très bien le contenu de cette histoire, je ne vais donc pas vous refaire un résumé, sinon vous n'aurez plus grand intérêt à lire ce livre.
Nous avons affaire à une ado avec du caractère, de la repartie et un fort tempérament. Elle nous fait voyager avec humour et désinvolture dans sa quête d'identité.
Vous partagerez avec elle ses colères, ses doutes, ses questionnements, ses joies ... Vous ferez la connaissance de sa meilleure amie, pas toujours très sympathique, mais présente, même si par moments, ses réactions sont plutôt gauches.
Je n'ai pas apprécié la maman d'Éva que j'ai trouvée assez pénible par ses réactions. J'ai trouvé les révélations, sur la réelle identité d'Éva, assez brutales. Elle apprend à sa fille la vérité sur son passé, sur son père biologique avec un manque de diplomatie et de tact assez surprenant.
Si j'ai aimé tout l'univers musical, tous les passages sur Nirvana et autres groupes qui ont rythmé mon adolescence, j'ai eu plus de mal avec le reste de l'histoire que j'ai trouvé plate et longue.
Il se passe des choses, oui, mais l'histoire en elle-même n'avance pas. Finalement au bout de ces 350 pages, on n'apprend pas grand-chose et j'avoue que passé les 300 pages, j'avais hâte d'arriver au bout. En revanche, les 50 dernières pages ont été remplies de révélations toutes plus surprenantes les unes que les autres et la fin du roman se laissent lire avec plaisir.
Comme vous le voyez, il y a du positif et du négatif. Je classe ce roman dans mes lectures sympas, ni plus, ni moins.
Il est resté un long moment dans mes lectures en attentes, trop longtemps à mon goût, mais bon ...
Ce livre m'a tenté, pas grâce à la couverture que je ne trouve pas jolie, bien qu'elle est représentative de ce roman, mais pour son résumé qui m'a interpellée et intéressée.
Les quelques lignes du résumé expliquent très bien le contenu de cette histoire, je ne vais donc pas vous refaire un résumé, sinon vous n'aurez plus grand intérêt à lire ce livre.
Nous avons affaire à une ado avec du caractère, de la repartie et un fort tempérament. Elle nous fait voyager avec humour et désinvolture dans sa quête d'identité.
Vous partagerez avec elle ses colères, ses doutes, ses questionnements, ses joies ... Vous ferez la connaissance de sa meilleure amie, pas toujours très sympathique, mais présente, même si par moments, ses réactions sont plutôt gauches.
Je n'ai pas apprécié la maman d'Éva que j'ai trouvée assez pénible par ses réactions. J'ai trouvé les révélations, sur la réelle identité d'Éva, assez brutales. Elle apprend à sa fille la vérité sur son passé, sur son père biologique avec un manque de diplomatie et de tact assez surprenant.
Si j'ai aimé tout l'univers musical, tous les passages sur Nirvana et autres groupes qui ont rythmé mon adolescence, j'ai eu plus de mal avec le reste de l'histoire que j'ai trouvé plate et longue.
Il se passe des choses, oui, mais l'histoire en elle-même n'avance pas. Finalement au bout de ces 350 pages, on n'apprend pas grand-chose et j'avoue que passé les 300 pages, j'avais hâte d'arriver au bout. En revanche, les 50 dernières pages ont été remplies de révélations toutes plus surprenantes les unes que les autres et la fin du roman se laissent lire avec plaisir.
Comme vous le voyez, il y a du positif et du négatif. Je classe ce roman dans mes lectures sympas, ni plus, ni moins.
Pour conclure:
J'ai passé un bon moment avec ce roman. J'ai aimé l'univers musical, surtout les passages avec Nirvana. Je suis nostalgique de ce groupe qui a bercé mon adolescence et ça fait du bien de lire un roman qui l'évoque avec autant de passion.
Angélique
Extrait:
En fait, au fil de la matinée, je rigole de moins en moins. C'est le comble: je commence à y prendre goût, à la langue de Flaubert. Ça me parle moins directement que Kurt Cobain ou du Noir Désir, mais quand on a que ça pour se divertir ... eh bien, on s'habitue. Pour ma première fois depuis que Bouchouron nous a obligés à lire ce roman, je fais des efforts, je reviens même en arrière quand je perds le fil de la phrase. Je n'irais pas jusqu'à dire que je ressens une connexion avec l’héroïne, n'exagérons pas (j'ai un peu l'impression qu'elle vit à l'époque de la préhistoire), mais j'ai de la peine pour elle.
Parlons de l'auteur:
Vincent Brunner est journaliste, spécialisé dans la musique et la bande dessinée.
Il a été chef de rubrique musique des Rolling Stone pendant trois ans et a écrit plusieurs ouvrages sur des chanteurs, notamment En quarantaine, avec/sur Christophe Miossec (Flammarion) et Bob Dylan au-delà du mythe (City).
Actuellement, il écrit sur la musique pour divers magazines (VSD, Spray, KR Homestudio, Beachbrother, Snatch).
Bibliographie:
♦Platine → Editions Flammarion (2014)
♦Rock Strips Come Back → Editions Flammarion (2011)
♦Rock strips → Editions Flammarion (2009)
Ce livre a l'air sympa :)
RépondreSupprimerOui, très frais et sympa ;)
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