Genre: Polar / Suspense psychologique
Nombre de pages: 384
Date de sortie: 07/05/2014
Prix support papier: 21€00
Prix format numérique: 14€99
ISBN: 978-2258099524
Editions: Presses de la Cité
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Synopsis:
Une quête identitaire angoissante dans un Texas qui sent la poudre.
A la mort de son père, Tommie McCloud, trente-deux ans, revient dans sa ville natale de Ponder, au Texas, pour s'occuper du ranch familial et se rapprocher de sa mère, Irene, atteinte de démence.
Peu de temps après, Tommie reçoit une lettre d'une certaine Rosalina Marchetti, habitant à Chicago et lui révélant, preuves à l'appui, qu'elle est la fille qu'on lui a enlevée trente et un ans auparavant.
La vie jusqu'alors tranquille de Tommie reposait-elle sur un mensonge ? Avec l'aide d'un journaliste, qui enquêtait sur le « réseau Marchetti », et de Lyle, patron de presse local, et ancien ami de son père, Tommie découvre que Rosalina est l'épouse d'un parrain de la mafia actuellement sous les verrous et que sa mère, Irene, avait intégré le programme de protection des témoins trente ans plus tôt.
Peu de temps après, Tommie reçoit une lettre d'une certaine Rosalina Marchetti, habitant à Chicago et lui révélant, preuves à l'appui, qu'elle est la fille qu'on lui a enlevée trente et un ans auparavant.
La vie jusqu'alors tranquille de Tommie reposait-elle sur un mensonge ? Avec l'aide d'un journaliste, qui enquêtait sur le « réseau Marchetti », et de Lyle, patron de presse local, et ancien ami de son père, Tommie découvre que Rosalina est l'épouse d'un parrain de la mafia actuellement sous les verrous et que sa mère, Irene, avait intégré le programme de protection des témoins trente ans plus tôt.
Chère Tommie,
J'ai passé la plus grande partie de ma vie à vous chercher. Je crois que vous êtes ma fille. |
Extrait: -1- Malgré son nom, Ponder, Texas, mille cent un habitant, n'est pas vraiment l'endroit idéal pour méditer. Pendant quatre mois de l'année, il fait bien trop chaud pour penser.C'est en revanche un bon endroit pour disparaître. C'est ce que ma mère a fait il y a trente-deux ans. Qu'elle ait réussi à le cacher à presque tous ceux qui l'aimaient fait d'elle une menteuse plutôt douée. Je ne sais pas trop ce que cela révèle de moi.Quand j'étais petite fille, ma grand-mère me tirait les cartes pour me faire tenir tranquille. Je me souviens distinctement d'une journée d'août pendant laquelle le trait rouge du thermomètre de la véranda, à l'arrière de la maison, était monté à quarante-deux. La sueur coulait derrière mes genoux, a robe bain de soleil en coton léger était plaquée contre mon dos. Je balançais mes jambes, trop courtes pour toucher le sol, sous la table de la cuisine. Grand-mère équeutait des haricots à un rythme apaisant. Je fixais du regard e grand pichet en verre de thé glacé, dans lequel flottaient des feuilles de menthe et de quartiers de citron, en rêvant de pouvoir y plonger. Grand-mère promettait qu'une tempête venant de l'Oklahoma rafraîchirait l'atmosphère d'ici au dîner. Le ventilateur n'arrêtait pas de faire s'envoler les cartes et je passais mon temps à les plaquer sur la table en pouffant.
C'est vrai que la couverture est très jolie, le côté quête identitaire avec une bonne dose de psycho dedans me plait bien, si j'en ai l'occasion je le lirai je pense.
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