Titre: La maison des lumières
Auteur: Didier Van Cauwelaert
Genre: Romance
Nombre de pages: 192
Date de sortie: 04/03/2009
Prix du livre papier: 15€20
Prix du livre numérique: 7€49
ISBN: 9782226190796
Synopsis:
A vingt-cinq ans, Jérémie Rex, boulanger à Arcachon, est entré dans un tableau de Magritte. Là, il a retrouvé pendant quatre minutes trente la femme de sa vie, au temps où elle l'aimait encore... Mais comment recréer le bonheur dans la réalité ?
A vingt-cinq ans, Jérémie Rex, boulanger à Arcachon, est entré dans un tableau de Magritte. Là, il a retrouvé pendant quatre minutes trente la femme de sa vie, au temps où elle l'aimait encore... Mais comment recréer le bonheur dans la réalité ?
Mon avis:
La maison des lumières est le roman de Didier Van Cauwelaert que j'ai le moins aimé.
Vous l'avez lu ? Notez-le:
Mes ressentis:
J'ai fait la connaissance de Jérémie Rex, un jeune boulanger de 25 ans habitant à Arcachon, cet homme est malheureux puisqu'il est délaissé par sa petite amie. Son seul souhait : retrouver cet amour perdu.
De mon côté, j'ai retrouvé avec plaisir l'humour de l'auteur, en revanche, je n'ai pas été embarquée ni transportée par l'histoire que je n'ai pas trouvée passionnante. Elle ne m'a rien apporté et j'ai refermé mon livre en étant très dubitative. L'intrigue est bien trouvée et fait de ce roman une lecture originale. La part de fantastique ne m'a pas dérangée, au contraire, j'ai aimé cela, mais il faut être honnête, dans l'ensemble, ça ne casse pas trois pattes à un canard.
J'ai encore vers moi un livre de Didier Van Cauwerlaert qui se nomme Un aller simple, ce roman ayant reçu le prix Goncourt, j'attends donc qu'il soit d'un niveau supérieur. J'espère que cette lecture me plaira davantage et que je retrouverai la plume singulière, légère et sympathique de cet auteur talentueux.
►En bref, une lecture qui me laisse un sentiment mitigé. Je n'ai pas détesté ce roman puisque je suis allée au bout, en même temps vu l'épaisseur, ça aurait été malheureux de ne pas le lire jusqu'à la dernière page. Mais je n'ai pas passé un super bon moment non plus. Un roman qui ne m'a rien apporté et c'est dans la plus grande indifférence que je le repose aujourd'hui dans ma bibliothèque.
Bibliographie:
♦On dirait nous ← Ma chronique
♦Jules ← Ma chronique
♦Attirances
♦Cheyenne
♦Clôner le Christ
♦Corps étranger
♦Dictionnaire de l'impossible
♦Double identité
♦Hors de moi
♦J. M. Weston
♦Karine après la vie
♦L'apparition
♦L'éducation d'une fée
♦L'enfant qui venait d'un livre : Romanga
♦L'évangile de Jimmy
♦L'orange amère
♦La demi-pensionnaire
♦La femme de nos vies
♦La Maison des lumières ← Ma chronique
♦La Nuit dernière au XVe siècle
♦La vie interdite
♦Le journal intime d'un arbre
♦Le nouveau dictionnaire de l'impossible
♦Le père adopté
♦Le Principe de Pauline
♦Le Rattachement
♦Les témoins de la mariée
♦Les vacances du fantôme
♦Poisson d'amour
♦Premiers romans
♦Rencontre sous X
♦Thomas Drimm, Tome 1 : La fin du monde tombe un jeudi
♦Thomas Drimm, Tome 2 : La guerre des arbres commence le 13
♦Thomas Drimm, tome 3 : Le temps s’arrête à midi cinq
♦Un aller simple
♦Un objet en souffrance
♦Vingt ans et des poussières
Quelques liens indispensables:
♦Site des Editions Albin Michel
♦Albin Michel sur Facebook
♦Albin Michel sur Twitter
♦Albin Michel sur YouTube
Les premières lignes:
J'ai rencontré Philippe Necker dans une collision de gondoles. Deux hommes seuls à Venise, l'air en deuil ou largué de frais, fatalement ça crée un lien. Pendant que nos gondoliers remplissaient leurs constats, on a échangé quelques mots. Il venait de Paris, j'étais d'Arcachon. Son métier l'obligeait à passer vingt-quatre heures sur place ; moi j'avais gagné un séjour pour deux.
J'ai rencontré Philippe Necker dans une collision de gondoles. Deux hommes seuls à Venise, l'air en deuil ou largué de frais, fatalement ça crée un lien. Pendant que nos gondoliers remplissaient leurs constats, on a échangé quelques mots. Il venait de Paris, j'étais d'Arcachon. Son métier l'obligeait à passer vingt-quatre heures sur place ; moi j'avais gagné un séjour pour deux.
Quelques mots sur Didier Van Cauwelaert:
Né à Nice en 1960
Lauréat du prix Goncourt en 1994 pour 'Un aller simple', le Niçois Didier Van Cauwelaert, rythme la vie littéraire française avec ses nombreux romans et pièces de théâtre. Attiré par l'écriture depuis sa plus jeune enfance, l'écrivain se fait remarquer par hasard, alors qu'il entreprend une correspondance imaginaire avec l'actrice Greta Garbo, publiée dans le courrier des lecteurs de Télé 7 jours. Mais la reconnaissance critique et publique n'intervient qu'avec ses premiers romans parmi lesquels 'Poisson d'amour' en 1984 ou 'Les Vacances du fantôme', trois ans plus tard. Inspiré par les thèmes de la famille et de l'épanouissement social, Didier Van Cauwelaert s'intéresse également au paranormal et à la folie scientifique comme en témoigne son roman 'L' Evangile de Jimmy', dans lequel l'auteur traite de la question du clonage. Très impliqué dans la vie théâtrale : acteur occasionnel mais surtout metteur en scène et dramaturge, on doit à ce fan de Marcel Aymé une comédie musicale adaptée du 'Passe-muraille', créé avec la collaboration de Michel Legrand et pour lequel il reçoit un Molière en 1997. Couronné de succès, Didier Van Cauwelaert attire l'attention au-delà des frontières françaises et du cadre littéraire, son roman 'L' Education d'une fée' fait notamment l'objet d'une adaptation cinématographique en Espagne.
♦Son blog
♦Sa page Facebook
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