Je trouve ce petit billet beaucoup plus sympathique, personnel et complet que l'IMM habituel. J'aime le fait de parler, en plus de mon blog, des articles, chroniques et vidéos de mes copinautes.
Mes lectures :
Cette semaine j'ai lu :
Mes lectures actuelles :
*Le secret de la manufacture de chaussettes inusables : Il me reste 13 heures d'écoute.
*Camille, mon envolée : Pas encore commencé.
Mes lectures prévues pour la semaine à venir:
*Camille, mon envolée : Pas encore commencé.
Mes lectures prévues pour la semaine à venir:
In My Mailbox :
Mes réceptions de la semaine
Rachel et David forment un couple en apparence sans histoire. Mais un jour, la jeune femme tue un homme au volant de sa voiture. David fait disparaître le corps puis ils tentent de reprendre le cours de leur vie. Rachel, consumée par la culpabilité, sombre dans l'autodestruction et attise les pulsions manipulatrices et possessives de son mari.
La femme qu’emporte la rivière Crooked flotte entre deux eaux. Sur la rive, deux fillettes qui jouent dans l’après-midi ensoleillé. Elles sont les premières à découvrir le corps et, soudain, leurs jeux cessent. Leur enfance bascule dans la dureté du monde des adultes. La veille, leur père les a laissées seules suffisamment longtemps pour qu’elles puissent le croire coupable de meurtre. Pour ne pas le perdre, comme elles ont perdu leur mère quelques semaines auparavant, elles décident de mentir sur son emploi du temps… et resserrent bien malgré elles les mailles du soupçon autour de lui, le livrant en pâture à une petite ville dont les préjugés et les rancunes lui laissent peu de chances…
A travers les yeux et les pensées de Sam, juste entrée dans l’adolescence, et de Ollie, encore enfant et qui s’est enfermée dans le silence, Valerie Geary mène son lecteur dans une enquête tissée de secrets, de mensonges, de semi vérités et d’adieu à l’enfance. A la tension générale de l’intrigue et à l’atmosphère, qui doit beaucoup à la superbe présence de la nature, s’ajoute les voix d’esprits bienveillants qui guident les fillettes dans leur quête de vérité.
« Je me trouvai dans le jardin faiblement éclairé d’une lueur verdâtre. Les oiseaux s’étaient tus. Aucune vibration ne troublait plus l’atmosphère. C’est alors que je sentis une petite main se glisser dans la mienne, comme si un enfant s’était matérialisé à côté de moi dans l’obscurité. Mais l’enfant était invisible… »
Adam Snow, un marchand de livres anciens perdu dans la campagne anglaise, arrive dans le parc d’un manoir à l’abandon. Par curiosité, il se dirige vers la porte d’entrée, lorsqu’il ressent une mystérieuse présence…
La petite main qui a saisi la sienne va désormais l’obséder. D’autant qu’elle semble lui vouloir du mal…
Auteur de La Dame en noir (L’Archipel, 2012), Susan Hill, référence du roman gothique britannique, signe ici un conte fantastique d’une intensité saisissante.
Dans l’appartement du vieux professeur d’Oliver, étudiant à Cambridge, on peut admirer un tableau représentant un groupe de Vénitiens masqués faisant la fête pendant le carnaval.
Au cours d’une froide nuit d’hiver, le vieux professeur décide de révéler à son étudiant l’étrange secret de cette peinture envoûtante, qui possède le mystérieux pouvoir de capturer la vie…
Le contempler trop longtemps, c’est jouer avec le feu. Défier les démons invisibles qui s’y cachent, c’est risquer de devenir la prochaine victime de la toile…
Oliver parviendra-t-il à ne pas succomber aux charmes macabres du tableau ?
Dans les semaines qui ont suivi la mort de sa fille Camille, 16 ans, emportée une veille de Noël après quatre jours d’une fièvre sidérante, Sophie Daull a commencé à écrire.
Écrire pour ne pas oublier Camille, son regard « franc, droit, lumineux », les moments de complicité, les engueulades, les fous rires ; l’après, le vide, l’organisation des adieux, les ados qu’il faut consoler, les autres dont les gestes apaisent… Écrire pour rester debout, pour vivre quelques heures chaque jour en compagnie de l’enfant disparue, pour endiguer le raz de marée des pensées menaçantes.
Loin d’être l’épanchement d’une mère endeuillée ou un mausolée – puisque l’humour n’y perd pas ses droits –, ce texte est le roman d’une résistance à l’insupportable, où l’agencement des mots tient lieu de programme de survie : « la fabrication d’un belvédère d’où Camille et moi pouvons encore,
radieuses, contempler le monde ».
« Dans les jours d’après, nous distribuerons tes soixante-dix-sept peluches, une par une ou deux par deux, à des fossés dans les campagnes, à des clairières, à des rochers. C’est joli, ces ours, ces lapins, ces petits chats abandonnés sur les tapis de mousse, prenant la pluie sous les marguerites. »
Le dernier jour du millénaire, dans la petite ville de Bass, au Texas, la septuagénaire Faith Bass Darling, qui s'est improvisée fumeuse invétérée et n'en fait qu'à sa tête, étale tous ses biens de grande valeur sur la pelouse de sa demeure ancestrale pour un vide-grenier. Pourquoi ? Parce que Dieu le lui a demandé. Et parce qu'elle sait de quoi il est question : de sa mort, et du meurtre lointain de son mari, Claude. A mesure que les habitants s'arrachent les antiquités accumulées par cinq générations de Darling, un revolver de la guerre civile, une alliance, une pendule vestige de l'histoire de France, une bible de famille, un bureau cylindre, une multitude de lampes Tiffany, chaque objet révèle le rôle secret qu'il a joué dans la saga familiale et pose les plus profondes des questions existentielles.
Antoine est un jeune homme timide qui rêve d'être un héros. Rose est une violoncelliste de talent, mais qui a perdu sa flamme intérieure. Et le Paradis est un somptueux cinéma, où le vieux Camille invite à rêver en projetant des films tous les dimanches soirs. Lors d'une nuit glaciale, une tempête de neige enveloppe le petit village, et Camille meurt. C'est à Antoine qu'il revient de continuer à faire vivre le Paradis, seule animation du village. Mais des choses étranges se passent. Dans le coeur solitaire d'Antoine, Camille n'a pas disparu, il est même là qui lui parle et le conseille chaque fois qu'Antoine se retrouve seul dans le cinéma, presque abandonné. Et puis surtout la mairie décide de vendre le Paradis, et le promoteur qui compte l'acheter va le détruire pour profiter du terrain. Soudainement Antoine n'est plus seul et c'est tout le village qui va se battre pour sauver le cinéma de Camille, la mémoire du village. Même Rose, la discrète musicienne, revenue dans la maison de son enfance depuis quelques semaines... Se souviendra-t-elle d'Antoine avec qui elle avait joué, enfant, aux châteaux de sable, plusieurs juillets de suite ? Est-ce seulement dans les films projetés au Paradis que des femmes comme Rose tombent amoureuses d'hommes comme Antoine ?
Les adultes font la fête à l'étage, le soir du nouvel an. Samantha veille avec Remy, son meilleur ami, sur sa petite soeur, Tabitha. Elle dort paisiblement à leurs côtés. Soudain le père Noël entre dans la pièce, attrape Tabitha et l'emporte sous leur regard impuissant. À 17 ans, Sam revient avec sa famille sur les lieux du drame. La jeune fille retrouve Remy. Ensemble, ils réalisent qu'ils ont peut-être envoyé la mauvaise personne en prison...
Lifetime :
Sur le blog :
CHRONIQUES:
RENDEZ-VOUS:
Mon planning de cette semaine :
CHRONIQUES:
♦Mardi → La vie selon Nora de Linda Yellin
♦Mercredi → Surtout ne mens pas de Elena Sender
♦Jeudi → Camille, mon envolée de Sophie Daull
♦Vendredi → Les secrets des Filles au chocolat de Cathy Cassidy
RENDEZ-VOUS:
♦Samedi → BookNews
♦Dimanche →Sunday's Books
♦Lundi → Les sorties littéraires
Et pour finir une petite citation littéraire :
Et voilà !! J'espère que cet article vous a plu !
Bise et bon dimanche :)
De jolies acquisitions !
RépondreSupprimerBonne semaine !
Je vais essayer d'attaquer "Surtout ne mens pas" cette semaine.
RépondreSupprimerJ'attends ton avis sur le Charlotte Link car ma première impression a été très mitigée et j'ai encore 3 livres d'elle dans ma PAL...